Source : EightDayzaWeek
En dépit d'un tardif argument pris dans l'actualité (le hiatus paysannerie/armée française qui agite le Larzac d'alors), d'un pompage de tous les gags à succès de Chaplin aux 101 Dalmatiens (en passant par le filtre bédéphile* (qui n'a pas vu Averell le goinfre dans ce dadais de Phil ?)) et de dérivations scénaristiques cache-misère (la scène des cravates à JP Farré), voici un titre qui ne reprend pas les choses où elles avaient été laissées trois ans plus tôt, mais qui, tout bonnement, les réinvestit avec redondance mais sans plus de scrupules que ça et rejoue l'air de la poétique bidassière forte de tous ses motifs à base de barreaux, de corvées, de cul nu et de cheveux autoritairement coupés (l'ouverture du film, de très loin la meilleure séquence !**) [..]