Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Culturopoing, Les irréductibles, Rob Gordon, Boustoune, Goin' to the movies, Cahier Critique, Goin' to the movies, Lieux Communs, Publik'Art
Le sens de la vie pour 9.99$, De Tatia Rosenthal Animation Sortie en salle le 29 Avril 2009 |
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Comment parler du sens de la vie ? Cette interrogation pourrait aussi bien s’appliquer au personnage de Dave Peck, jeune chômeur désœuvré tentant maladroitement de faire partager à son entourage sa découverte récente sur la question, qu’au film réalisé par Tatia Rosenthal. Tatia, qui depuis ses premiers essais s’est attachée à l’œuvre littéraire d’Etgar Keret (Les Méduses) pour développer ses propres univers. Deux complices artistiques, engagés ici dans une collaboration empreinte d’une aura presque surréaliste, à l’image du film, dont ils signent ensemble le scénario ...
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Il suffit de quelques secondes, de juste ralentir légèrement le rythme afin de pénétrer dans l’univers merveilleux, prodigieux du film d’animation de Tatia Rosenthal. Inspiré des nouvelles du romancier israélien Etgar Keret, déjà source d’inspiration du film Les Méduses, Tatia Rosenthal crée un quartier et plus précisément un immeuble que l’on présume se trouver à Tel-Aviv ...
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Avant d'être cinéaste (il a reçu la Cémara d'Or en 2007 pour Les méduses), l'israëlien Etgar Keret est d'abord écrivain, et notamment auteur de petits contes moraux qui rencontrèrent un franc succès dans de nombreux pays. Le sens de la vie pour 9,99$ en est une compilation animée, mêlant notamment un ange gardien taciturne, trois types minuscules mais encombrants, un petit garçon et sa tirelire-cochon ...
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Les plus fidèles de mes lecteurs se rappelleront sans doute qu’en 2007, j’avais eu un énorme coup de cœur pour un film israélien intitulé Les méduses. Un chef d’œuvre magistralement construit et réalisé, qui traitait du thème de la féminité à travers de petites scènes du quotidien, et de trois petites histoires indépendantes les unes des autres, mais subtilement reliées par des récurrences visuelles. L’un des réalisateurs de ce petit bijou s’appelait Etgar Keret (1). Il a par ailleurs écrit plusieurs recueils de nouvelles (2), où l’on retrouve la même qualité d’écriture, la même finesse d’observation de la vie de ses contemporains, leurs petits bonheurs, leurs petits drames, et un univers qui flirte volontiers avec le fantastique ou l’onirisme ...
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Certainement séduisant sur le papier, vous aurez compris qu'au final ce film choral aux ambitions philosophiques ne m'a pas convaincue et pour tout dire un peu ennuyée. Sa volonté affichée d'être cool voire trash (bien qu'il ne le soit aucunement, et n'aille jamais assez loin dans le malaise et la noirceur) fatigue rapidement alors même qu'on aurait pu s'attacher à quelques unes des figures qui traversent le film sans réellement le marquer de leur empreinte ...
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9$99, c’est à peine 8 euros et le prix d’une place de cinéma. A ce montant-là, un prospectus vend un attrape-nigaud qui expliquerait enfin le sens de la vie. Ce que se sont échinés à comprendre les plus grands philosophes de notre ère, un bouquin tout simple le livrerait pour trois fois rien au regard de l’immensité et de l’importance de la question. Et des réponses. Le titre du film -et du livre- renvoie à un Mython Python et à un Beigbeder, et dans l’esprit on n’est pas si loin d’un combo Gilliam/F.B ...
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Le sens de la vie pour 9,99$ est adapté d'un recueil de nouvelles de l'israélien Edgar Keret, également cinéaste (Les méduses, 2007), d'où l'aspect décousu de cette succession de saynètes sur la vie des habitants d'un immeuble de Jérusalem. La réalisatrice Tatia Rosenthal a choisi pour leur transcription à l'écran, outre le passage à la langue anglaise pour des raisons commerciales, d'en faire un film entièrement en « pâte à modeler ». Ceci dit le procédé, assez impressionnant techniquement, n'ajoute pas vraiment d'intérêt à la chose, on se demande quelle est sa plus value ...
On avait déjà celui des Monty Python (mais dont on ne connaissait pas le prix) qui nous avait fait autant écarquiller les yeux que travailler les zygomatiques. Voici celui de Tatia Rosenthal. Plus... radical ?Définitivement original, en tout cas. De part la technique (animation de pâte à modeler), de par sa tonalité (poético-fantastique ?), et de par ses personnages (et les anecdotes qui les impliquent.) Un univers doux-amer (aigre-doux ?) issu des nouvelles d'Etgar Keret, en couleurs certes mais tirant souvent sur le sombre ...
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Surement le titre le plus dérisoire pour un film..! Il n’en fallait pas plus pour que je pousse à deux mains les portes ballantes de mon petit cinéma..Le film est fait de petites figurines: l’animation promet toujours de belles séquences. Le scénario est relativement simple: Dave peck commande le bouquin “the meaning of life pour 9,99 dollars“ et cherche à communiquer avec ses voisins les plus (famille) et moins(ceux de palliers) proches de son immeuble sur la difficile question du sens de la vie.Un tas de savoureuses scènettes se succèdent alors ...
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