Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Norman Bates, Cinémapolis, Dr Orlof, Les Irréductibles, Sirensorrento
Le Direktor , De Lars Von Trier, Avec J. Albinus, P. Gantzler, F. Thor Fridriksson Sortie en salle le 28 février 2007 Sortie en DVD le 10 octobre 2007 | |
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Aujourd’hui, chez les gens biens du cinéma, chez les cinéastes « hype » et bien en vue, il est de bon ton de donner dans la comédie grimaçante. Au grand dam de la presse qui ne sait pas si il faut rire ou pleurer, Lars Von Trier répond que c’est juste une comédie, à oublier bien sagement en rentrant chez soi et en allumant la télé. Quel est le prénom de Lars Von Trier ? Ou plutôt, pourquoi Jean-Marc Barr ? Et finalement faudra-t-il investir dans les intermittents ? Comédie punk. Une boite d’informatique, un acteur vient jouer le rôle du patron car celui-ci n’assume pas son rôle ...
Lire la suite de la chronique chez Norman Bates.
Lars von Trier offre au public un petit film hors du commun, jubilatoire, non sans parler d'une réalité quasi quotidienne, les difficultés relationnelles au sein d'une entreprise et un enjeu de taille, l'avenir de cette dernière. Comédie de situation où l'un sait ce que l'autre ne sait pas, telle est la base de travail que Lars von Trier s'est donné pour cette histoire. Loin de la série sur l'Amérique, Le Direktør est une comédie revigorante, sortant des sentiers battus ...
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Ceux qui s’inquiétaient pour la santé mentale de Lars Von Trier peuvent se rassurer : notre homme est toujours aussi fou ! Alors que nous attendions impatiemment le troisième volet de sa trilogie américaine, le voilà qui revient au Danemark pour trousser ce qu’il qualifie lui-même de « petite comédie ». Ouverture du film : le cinéaste filme son propre reflet dans les vitres d’une grande tour d’une société d’informatique où va se dérouler l’action. Premier paradoxe : se montrer pour mieux annoncer sa disparition puisque le film a été tourné, tout le monde le sait désormais (je l’ignorais au moment de le voir), avec l’aide d’un logiciel informatique choisissant le cadre et les prises de son. ...
Lire la suite de la chronique chez le Dr Orlof.
D'emblée Lars Von Trier nous adresse la parole, on le devine installé dans une nacelle surplombant un immeuble de bureau. C'est ici que se déroulera l'aventure. Le cinéaste nous laisse et nous penetrons les bureaux, faire une rapide connaissance de l'acteur ( style habité par la passion de son métier..mais plutot looser ..d'où sa presence ici..tout cachet est bon à prendre.), sa mission incarner le patron qui procedera à la vente de sa société..une affaire qui devrait vite se regler..oui mais la mecanique va se gripper et sous l'impulsion bien involontaire de notre héros tragedien....rien ne se passe comme prevu... ...
Lire la suite de la chronique chez Les Irréductibles.
Lars von Trier nous livre une comédie cinglante sur le monde de l’entreprise et le masque que l’on y porte, et même si le réalisateur s’adresse au spectateur pour nous dire que ce n’est rien qu’une comédie « et que le film doit finir parce que lui aussi aimerait rentrer chez lui », on est quand même poussé à s’interroger pendant le film sur les relations sociales et sur le rapport à la hiérarchie que nous entretenons tous. Ou presque ...
Lire la suite de la chronique chez Sirensorrento.
Commentaires
Horrible
J'en sors... Quelle horreur ! Moi qui était en paix avec Lars Von Trier après Dogville aux tons (esthétiques et intellectuels) si juste, j'en sors quasi fâché. Automavision ! ôte-moi ma vision dirais-je. C'est lui qui a inventé ça, c'est bien ça ? Mais dans quel but, nous offrir des plans laids, un son pourri et un montage aléatoire. Mais quel intérêt de faire du cinéma ? Autant mettre une caméra dans un coin de la pièce, un micro au milieu, quelques acteurs autour d'une table, et on se raconte des histoires drôles. Bref, je suis fâché. Je vais aller dormir, réfléchir, et peut-être que mon avis s'adoucira demain.
Guillaume - 29.03.07 à 01:31 - # -