Source : EightDayzaWeek
En produisant ce film, John Hughes s'offre en réalité le producer's cut de son film précédent, Pretty in pink*, auquel le studio avait imposé une fin qu'il ne cautionnait guère. Ainsi, plutôt que le tournage d'une alternate ending, le binoclard teenage-ophile se paye donc le luxe d'un quasi remake (le film est en réalité une variation qui "change de camp", passant du point de vue féminin de Rose Bonbon (titre français de PiP) à un masculin) [..]