Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Cinemapolis, Through my eyes, Uziblog, Laterna Magica, Rob Gordon, Culturopoing, CinemaniaC, Les irréductibles, Dasola, Uniko, Une toile pour deux, Neil, BMR & MAM, Blog Culturel, Critiques clunysiennes, Acide Critique, In the mood for cinema, Devotionall, Mickaël
La Nuit nous appartient tire son titre de la devise de l’Unité criminelle de la police de New York chargée des crimes sur la voie publique. Pour son troisième film (après Little Odessa et The Yards), James Gray signe un drame criminel sur une famille piégée dans la guerre de la drogue qui fit des ravages à New York à la fin des années 80. Le scénario fait s’imbriquer un conflit familial intime dans un contexte public de lutte policière ...
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Pour son troisième film, James Gray a fait le choix de s’entourer d’acteurs qu’il connaissait déjà : Mark Wahlberg et Joaquin Phoenix, présents dans son dernier long métrage. Les deux têtes d’affiche, frères antagonistes à l’écran, sont entourés de la sulfureuse Eva Mendès et du vieillissant (mais toujours aussi bon) Robert Duvall ...
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Une heure après je suis encore marqué. Film magnifique, dans ses grandeurs et ses ridicules. Film porté à bout de bras par un Joaquim Phoenix incroyable, toujours au bord de la rupture, émouvant à vous donner envie de l'étreindre, fort et impitoyable, humain comme jamais. Beau rôle aussi que celui donné à un Robert Duvall vieilli, qui assume totalement l'âge ...
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James Gray est un cinéaste rare mais, avec "Little Odessa" et "The yards", nous avons tout de suite compris à quel point il pouvait être précieux. "La nuit nous appartient" est une nouvelle fois un sommet. Gray développe les thèmes qui lui son cher : la famille, la mafia, l’honneur etc. le tout chorégraphié avec une maestria rare pour une tragédie cinglante et poignante ...
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C’est le même New-York des années 80, les mêmes acteurs Joaquim Phoenix et Mark Whalberg, le même thème de passer du côté de la loi ou pas, un faux choix où l’enchaînement inéluctable des événements ne donne pas le choix, c’est un peu le même film que le précédent ("The Yards", 2000), entre Nouvel Hollywood et tragédie grecque, la même ambiance, mais un auteur ne refait-il pas toujours le même film ? ...
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La mafia russe a décidemment la cote chez nos amis réalisateurs. Après « les promesses l’ombre » de David Cronenberg, voici « We own the night » de James Gray. L’action ici se déroule à New-York, nous sommes dans les années 80, le disco règne dans les boites de nuit, comme dans l’établissement démesuré que gère Bobby (Joaquin Phoenix) pour le compte d’une riche famille russe. La nuit nous appartient, les héros ici appartiennent à la police de New-York. Celle dont la devise est We own the night nous possédons la nuit ...
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Après les excellents Little Odessa (1994) et The Yards (2000) qui se passaient déjà dans la population d'origine Russe à New York, La nuit nous appartient (We Own the Night) de James Gray nous captive dès le début. Deux frères, l'un flic, Robert (Bob) (Mark Whalberg), et l'autre tenancier d'une boîte de nuit, Joseph (Joe) (Joaquim Phoenix) ont un père, flic aussi, Albert (Bert) (Robert Duvall). Joseph semble le "vilain petit canard" de la famille ...
Lire la suite de la chronique chez Dasola.
Ce n'est pas la première fois qu'il nous fait le coup, le petit James. Déjà dans Little Odessa, on parlait de filiation et de russie. Et surtout, dans The Yards, il était directement question de ce qu'il convient de faire lorsque l'on sait quelque chose de pas très jolie sur sa famille. De coeur ou de sang, le problème est toujours là!!! Içi, on est du coté des gentils avec les 2 mêmes têtes d'affiche ...
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Il y a des périodes comme ça où plusieurs films d'un même genre se suivent. En ce moment, je trouve que ce sont les films de truands. Le dernier gang, Les promesses de l'ombre, American gangster et cette semaine La nuit nous appartient. Déjà, les quatre sont suffisamment bons et suffisamment différents pour que je vous les conseille. Tous ont une ambiance sombre assez réussie et des personnages forts. Celui qui nous intéresse dans cette critique est celui qui m'a le moins plu. En partie car il dérive du coté obscur et dur du monde des gangsters pour flirter avec celui des héros sur sa fin ...
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Après David Cronenberg et son Eastern promises, c’est au tour de James Gray de visiter l’univers de la mafia russe dans ce We own the night. Mais lorsque le premier ancrait son récit dans un Londres d’aujourd’hui, le deuxième s’attache à une période moins récente, les années 80, à New-York. Le point commun des deux films : traiter de la mafia russe mais avec un regard extérieur ...
Lire la suite de la chronique chez Neil.
Décidément, la mafia russe est dans le collimateur en ce moment. Elle envahit les écrans ... après avoir peut-être conquis aussi le terrain. Après Les promesses de l'ombre, voici La nuit nous appartient. We own the night, telle était la devise du NYPD à la fin des années 80. Mais la rue et la nuit leur étaient chèrement disputées par les trafiquants venus de l'est ...
Lire la suite de la chronique chez BMR & MAM.
Terrible polar que la nuit nous appartient de James Gray avec un Joaquim Phoenix qui est au sommet de son art. Après Walk the line avec Johhny Cash en 2005, Gladiator ou il incarne Commodus le fils naturel... de César, il est ici le deuxième fils d'une famille de flic newyorkais dans les années 80. Lui, c'est Bobby, un patron de boite qui évolue dans le monde de la nuit alors que son frère Joseph, un jeune et prometteur Lieutenant, affronte une autre nuit, celle des loups de de la drogue, du crime ...
Lire la suite de la chronique chez Blog Culturel.
"We own the night", c'est la devise inscrite sur l'écusson de la brigade criminelle du NYPD, telle que nous la découvrons sur les photos en noir et blanc qui défilent en ouverture. Pourtant, cette affirmation est battue en brèche à la fin de ces années de ces années 80, tant la mafia russe méprise les policiers qu'elle qualifie de "Mickey Mouse" ...
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C'est significativement par une série de clichés que s'ouvre la nuit nous appartient, parmi lesquels un gros plan sur l'écusson de la brigade policière new yorkaise qui va se livrer un duel (signe des temps?) avec la mafia russe , we own the night. Et en effet, au delà de la reconstitution réussie du New York des années 80, musique à l'appui ...
Lire la suite de la chronique chez Acide Critique.
Ce titre poétique (« We own the night » en vo, ça sonne encore mieux en Anglais non ?) a pourtant une source plus prosaïque qu’il ne le laisserait entendre puisque c’est la devise de l’unité criminelle de la police de New York chargée des crimes sur la voie publique. Ce n’est pas un hasard puisque, dans ce troisième film de James Gray ( « The Yards » son précèdent film avait déjà été projeté en compétition au Festival de Cannes 2000) qui se déroule à New York, à la fin des années 80, la police en est un personnage à part entière ...
Lire la suite de la chronique chez In the mood for cinema.
LA NUIT NOUS APPARTIENT est l’occasion de retrouver à l’écran un acteur versatile comme Joaquin Phoenix, que l’on a découvert ces dernières années dans la peau de personnages comme le fils de César ( dans Gladiator ) ou en chanteur country de légende ( Johnny Cash dans Walk the line ). Dans le dernier film de James gray, il incarne cette fois ci un patron de boîte très tendance, dans les années 80 ( l’occasion de retrouver dans sa boîte de bons vieux tubes de Bowie –let’s dance- ou encore de Blondie ) avec une clientèle pas toujours très recommandable et portée sur la poudre ( et pas le sucre ). Comme il a aussi un père chef respecté de la Police locale, et un frère tout dévoué à la cause policière, ça fait plutôt désordre ...
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Après Little Odessa en 1994 et The Yards en 2000, le (trop) rare James Gray propose avec La nuit nous appartient un polar sombre et soigné dans la lignée à la fois des réalisations brutes de Coppola et des montages parfait de Scorcese. James Gray qui dit lui-même avoir voulu mettre l’émotion au cœur du polar réalise en fait une prouesse poétique en élevant son film à un rythme de répétition opératique. La nuit nous appartient est un basculement dans la limite ; limite entre famille et amis, entre profession et passion, entre force et courage, entre folie et schizophrénie ...
Lire la suite de la chronique chez Mickaël.