Actuellement, il y a oeuvres. Pad de navigation Catégories
  
Ce site compile pour vous les avis de blogueurs passionnés.

  
Admin
  Commentaires  

Partenaires

 
marche au super de ViaBloga.

Design
 : Manta Ray

Sur une idée et avec l'énergie de Labosonic 
avec les talents de ses contributeurs.

 
  Favoris  

Aucun article

Aucun article


 
  146 Contributeurs  

04
02
2008

La Graine et le mulet - Abdellatif Kechiche

12 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
, , , , , , , , , , ,

 

La Graine et le mulet, 
D',

Avec H. Boufares, H. Herzi, F. Benkhetache
Sortie le 12 Décembre 2007
La Graine et le mulet - Abdellatif Kechiche
Acheter La graine et le mulet sur Amazon

 
Des grands cris d’amours dans une famille morcelée entre exclusion sociale, conflits de génération et difficultés d’intégration, le nouveau film de Abdel Kechiche se vit comme une tornade d’émotions et de fureurs. Privilégiant la vitalité et la force des corps, La Graine et le mulet impressionne par un style inédit entre le documentaire et l'influence des films Dogmas de par son aspect formel dépouillé ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
Sur les chantiers navals Sétois, Slimane, travailleur sexagénaire, est poussé vers la sortie à cause de son âge. Séparé de son épouse, il vit dans une modeste chambre à l’hôtel d’Orient avec la propriétaire des lieux, sa nouvelle compagne, et sa belle-fille. Mais cette situation de famille recomposée est difficilement compatible avec l’esprit de famille méditerranéen où on forme une sorte de clan et les enfants de Slimane, pourtant tous adultes, ont du mal à la digérer ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
Dans "La Faute à Voltaire", Sami Bouajila ditribuait un prospectus invitant à la projection d'un film appelé "La Graine et le Mulet". C'est dire qu'avant de tourner son premier long métrage, Abdellatif Khechiche avait déjà écrit le scénario de ce qui deviendra sept ans plus tard son troisième film ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
Il fallait avoir la tête sur les épaules pour survivre au raz-de-marée L'esquive. La graine et le mulet prouve qu'Abdellatif Kechiche est un type équilibré, préférant poursuivre ses projets les plus personnels plutôt que de céder à l'appel du star-system. Interprété en majeure partie par des comédiens non professionnels, son film impressionne par sa grande maîtrise. La direction d'acteurs est en tous points remarquables, et la mise en scène démontre l'amour porté aux êtres humains autant qu'aux personnages ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
Tout d'abord, je ne savais pas ce que voulait dire le titre (je suis très ignorante) maintenant je le sais. La graine c'est le couscous (dans le film, les personnages disent "la graine") et le mulet c'est le poisson frais qui sert à faire le couscous de poisson. La Graine et le mulet est filmé caméra à l'épaule et pendant 2h30, cela peut paraître long et fatigant pour certains. Je me suis bien habituée à cette image qui bouge tout le temps ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
Abellatif Kechiche nous offre avec ce film, qu'il a mis longtemps à pouvoir financer, un véritable chef d'oeuvre. A contre-courant de la production hexagonale usuelle, c'est à Sète, parmi les ouvriers et les immigrés, qu'il plonge une caméra qui trouve la force rare de s'attarder sur les personnages, les tranches de vie, sans pour autant se figer dans la compassion. Il y a une rage de vivre dans les plans qui se succèdent et qui pourtant pourraient être, en tout cas pour une grande partie de la population française, assez communs ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
On sort épuisé d’un tel film ! Lessivé par un épilogue haletant qui n’en finit pas. Le film a pris son temps, deux heures trente, pour une chronique familiale. Ici point d’esbroufe, de cascades à répétition, de rebondissements improbables. Non une narration simple en trois actes qui prend le temps de s’installer, de laisser les individus vivre, se présenter, se raconter. Le scénario offre la possibilité aux personnages de nous montrer leur caractère. Le protagoniste, Slimane (Habib Boufarès acteur amateur, ami de travail du père du cinéaste), ouvrier âgé et fatigué ne suit plus les cadences imposées pour réparer des bateaux en cale sèche à Séte ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
« La graine et le mulet » est un film énergique et fiévreux, solaire et sombre, étourdissant de vie à l’image de sa jeune interprète principale qui, notamment dans un plan séquence où elle tente de convaincre sa mère ( de quoi, je vous laisse découvrir) fait passer une multitude d’émotions avec un brio déconcertant et rarement vu au cinéma. De même que le duo singulier qu’elle forme avec Slimane donne lieu à des scènes toujours bouleversantes, Slimane, tellement touchant, qui se raccroche à son regard notamment lors de leurs démarches administratives face à des banquiers, fonctionnairess ...

Lire la suite de la chronique chez .

 
Mieux vaut ne pas manquer de temps pour voir ce film. La graine et le mulet, c'est long - plus de deux heures et demie - et lent. Lent parce qu'Abdellatif Kechiche évite les ellipses et préfère filmer un grand nombre de séquences en temps réel, dans le rythme naturel d'une vie de famille. Les dialogues, eux, sont menés à une allure souvent soutenue, avec un naturel dont on se délecte. Impossible d'imaginer que les textes dits par les acteurs ont été écrits et répétés. C'est inimaginable tellement ils paraissent spontanés ...

Lire la suite de la chronique .

 
Comme d’habitude, je commence la nouvelle année en rattrapant mon retard sur les dernières sorties de l’année précédente. Pour être tout à fait franc, je n’arrivais pas à me débarrasser d’une certaine réticence avant de me décider à aller voir le dernier opus d’Abdellatif Kechiche : 2h30 de projection (je n’aime pas les films longs), un accueil critique trop unanime et un rapport au cinéaste assez ambigu. Je m’explique : j’ai beaucoup aimé l’esquive mais les virulentes critiques qu’a suscité ce film chez quelques voisins internautes (je parle de ce que je respecte et que j’admire) m’ont troublé. Me serais-je fait avoir par ce film ? L’aurais-je surestimé ? Le doute s’est d’autant plus insinué en moi que j’ai découvert par la suite La faute à Voltaire, premier film de Kechiche, et l’ai trouvé assez médiocre malgré un excellent quart d’heure final ...

Lire la suite de la chronique du .

 
Voilà le petit film de la rentrée qui fait salle comble depuis plusieurs semaines dans les petits cinés qui ont parié (et gagné) sur lui (mais il y en a d'autres, des petits films, en cette nouvelle année 2008 !). Adellatif Kechiche nous y dévoile sa recette du couscous au poisson : de la graine et du mulet. Mais parmi tous les ingrédients, il ne faut surtout pas oublier une bonne et généreuse pincée de Hasfia Herzi, l'actrice qui donne la réplique (et c'est pas peu dire) au héros du film ...

Lire la suite de la chronique de .

 
Eh bien assez mitigé de mon point de vue. A la fois de très belles scènes et des longueurs. En effet, l'histoire de Slimane (alias Habib Boufares) est touchante tout comme il est touchant en tant qu'homme et notamment dans la relation privilégiée qu'il a avec Rim (alias Hafsia Herzi). Pour Rim, Slimane est un peu son père, un homme qu'elle apprécie et qu'elle a envie d'aider dans ce sens; elle l'accompagnera dans toutes les démarches de son projet, essayant de faire reculer tous les obstacles avec l'optimisme des battants; sachant très bien manoeuvré sa mère et ayant le don de soi; elle est belle intérieurement tout simplement ...

Lire la suite de la chronique de .


Note : 3.1/5 (21 notes)


Imprimer   0 commentaire Commenter  
>>

Commentaires

Critico-blog cultive les différences de la blogosphère depuis 2006