Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Laterna Magica, CinemaniaC, Through my eyes, Xav-B.Log, Rob Gordon, Critiques clunysiennes, Cahier critique
L'Orphelinat, De Juan Antonio Bayona Avec B. Rueda, F. Cayo, G. Chaplin Sortie en salle le 5 mars 2008 |
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Elevée dans un orphelinat, Laura reviens 30 ans plus tard avec son mari et son fils dans l'intention de restaurer l'endroit et d'en faire un foyer pour enfants handicapés. Simon, le fils de Laura, dialogue avec des amis imaginaires, puis disparait soudainement. Des évènements étranges se succèdent, une inquiétante vieille femme fait son apparition et, alors que tout le monde imagine Simon mort, Laura reste persuadée qu'elle retrouvera son enfant ...
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c’est une histoire de fantômes, une histoire d’amour fou, une histoire d’un passé trop lourd, inconsolable, immémorable, qu’on voudrait réparer, consoler, corriger, une histoire de l'impossible deuil de l’enfance, d'une regression incontournable pour affronter les souvenirs, une histoire de refuge dans le fantastique que ce soit mentalement ou à l'image, c'est la force du film. Ainsi, Laura, qui a passé son enfance dans un orphelinat au bord de la mer, garde le souvenir d’avoir été choyée, entourée par l’encadrement et ses camarades de l’époque. Avec son mari Carlos, médecin, elle rachète la bâtisse ...
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Le cinéma espagnol sort de l’ombre et s’attaque avec L’Orphelinat à un film de genre jusque là exploité par Hollywood. Minimisant l’influence des effets spéciaux visuels et sonores, le tout jeune réalisateur Juan Antonio Bayona mise sur le script et sur le talent de ses acteurs pour que le film plaise au public ...
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Synopsis : Laura vient de racheter l'orphelinat où elle a grandi pour le transformer en un centre pour enfants handicapés. Mais alors qu'elle vient tout juste de s'y installer avec son fils et son mari, le petit garcon commence à voir les fantômes d'orphelins dont un mysterieux Tomas.
Critique : L'Orphelinat est le film de tous les records en Espagne, record de spectateurs mais aussi records de nominations aux Goyas (les César espagnol) avec 14 nominations et 8 recompenses au final. Le film a également emporté le grand prix du Jury a Gerardmer. C'est donc avec impatience qu'on se precipite en salles pour découvrir cet événement. L'Orphelinat est le premier film de Juan Antonio Bayona, il est produit par le réalisateur Guillermo Del Toro (Le Labyrinthe de Pan) qui a été completement emballé par le scenario signé Sergio G. Sanchez ...
Critique : L'Orphelinat est le film de tous les records en Espagne, record de spectateurs mais aussi records de nominations aux Goyas (les César espagnol) avec 14 nominations et 8 recompenses au final. Le film a également emporté le grand prix du Jury a Gerardmer. C'est donc avec impatience qu'on se precipite en salles pour découvrir cet événement. L'Orphelinat est le premier film de Juan Antonio Bayona, il est produit par le réalisateur Guillermo Del Toro (Le Labyrinthe de Pan) qui a été completement emballé par le scenario signé Sergio G. Sanchez ...
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Il faut avoir de sacrées corones pour oser encore s'attaquer au cinéma fantastique espagnol sans craindre de sembler tout ridicule à côté de Jaume Balagueró et Alejandro Amenábar. Juan Antonio Bayona s'y est risqué... et c'est un pur bonheur. Encore une histoire de maison hantée et d'enfants maléfiques ? Oui. Et non. Sans prétendre révolutionner le genre, Bayona revisite des thèmes d'un classicisme absolu et parvient finalement à les réinventer ...
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Ayant vu les deux incontournables de la semaine avec le Gondry et l'Assayas, je me demandais quel troisième fim aller voir. Le traitement que Jean-Paul Salomé avait infligé à Belphégor et surtout à ce pauvre Arsène Lupin ne n'encourageant pas à voir "Les Femmes de l'Ombre", j'hésitais entre "Dead Girl" et "L'Orphelinat" : après tout, aujourd'hui l'Espagne occupe le devant de l'actualité, ce film en raflant 23 millions d'euros (les Espagnols font comme les Américains, ils comptabilisent les billets, pas les spectateurs) a fait un carton historique en tête du box office espagnol, vamos ...
L’Espagne n’en finit plus de refourguer ses films d’épouvante censés balayer, en terme d’originalité et de style, tous les précédents. Au point de devenir un genre à part entière. Ainsi, de Fresnadillo à Del Toro en passant par ce Bayona, l’Espagne exporte ses tâcherons sous-influencés, dépourvus d’un quelconque sens d’invention et de génie, carrément obnubilés par leur sens aïgu (ici, amer) de l’épate. L’Orphelinat n’échappe donc pas à la règle, loin de là ...
Lire la suite de la chronique du Cahier critique.