Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
In the mood for Cannes, Dr Orlof, Critiques clunysiennes, Sur l'octuple sentier, Acide Critique, Uziblog, BMR & MAM
L'avocat de la terreur, De Barbet Schroeder Documentaire avec J. Vergès Sortie en salle le 6 juin 2007 |
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Le film de ce 60ème Festival qui m’a le plus marquée est… un documentaire sélectionné dans la section « Un Certain Regard ». Intitulé « L’avocat de la terreur », et signé Barbet Schroeder, il dresse le portrait de l’avocat aussi énigmatique que médiatique : Jacques Vergès. En préambule de cette passionnante et édifiante projection, Thierry Frémaux dont je ne présente plus l’enthousiasme débordant et communicatif, salue la présence dans la salle d'un des membres du jury de la compétition officielle, Michel Piccoli, et de Pedro Almodovar ...
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« A la question « défendriez-vous Hitler ? », j’ai répondu « je défendrais même Bush, ...à condition qu’il plaide coupable ». Voilà le genre de propos que tient ce polémiste hors pair que fut toujours Jacques Vergès dans le documentaire que vient de lui consacrer Barbet Schroeder. Propos malicieux mais ambigus, qui feront hurler les bien-pensants. Prenez par exemple le dernier numéro des inrocks et lisez la critique de Serge Kaganski sur ce film : c’est le comble du jésuitisme ! Vous y verrez l’auteur louer l’avocat pour ses combats vieux de 50 ans (ça ne mange pas de pain de défendre aujourd’hui le FLN et ça donne bonne conscience ! On se sent toujours de gauche !) pour le blâmer en même temps pour ses autres engagements ...
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Premiers plans du film, sur des paysages cambodgiens, buffles, vélos et champs de mines. Première apparition de Jacques Vergès, qui explique qu'on ne peut pas parler de génocide au sujet des Khmers rouges de son ami Pol Pot, qu'il y a bien eu des brutalités, mais qu'on oublie la famine et le rôle des bombardements et de l'embargo américain, et puis que les chiffres ont été bien surévalués. Quelques minutes plus tard, il reparle de comptabilité macabre, cette fois il s'agit des morts de Sétif, et entre les 10 000 de la version française officielle et les 45 000 avancés par certains historiens, il choisit ces derniers ...
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Encore un documentaire passionnant qui sort sur grand écran. A l’heure où les fictions ne sont le plus souvent qu’un assemblage industriel de composants standardisés, les sujets les plus intéressants finissent par se trouver dans l'exploration du réel. Ce film de Barbet Schroeder tente d’examiner l’énigme que pose la vie de l’avocat Jacques Vergès ...
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Sur un point au moins, on peut suivre Schroeder : le film qu'il a réalisé sur, et avec Jacques Vergès, est bien plus qu'un documentaire. A vrai dire, il y a là tous les ingrédients, non pas d'un, mais de plusieurs films d'espionnage, où s'effacerait la frontière entre fiction et réalité. Quel itinéraire en effet que celui de Vergès, avec ses zones d'ombres, ses pirouettes, ses accointances évidentes avec de nombreux Etats et leurs différents services secrets...
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Tout un programme. Et puis les critiques de ce documentaires sont très bonnes, on nous parle deci delà de la lumière faite sur les 8 ans de blanc dans la bio de l'avocat. Et cet homme diabolisé doit être bien intéressant à regarder de près. Direction mon cinéma d'art et d'essai préféré de Paris, les 7 Parnassiens, bien décidé à ne pas juger cet homme a priori. Belles images d'archives, beaucoup d'interviewés proches (ou eux-mêmes) des protagonistes. Et c'est déjà cela qui pêche : on est ici trop dans le pathos ...
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La pénurie cinématographique estivale est l'occasion de voir des films peu ordinaires et cette saison semble être celle des documentaires : après le British Gangster, voici l'Avocat de la terreur de Barbet Shroeder, où il est cette fois question de Jacques Vergès. Au début du film, on suit avec passion les débuts du jeune Vergès en Algérie aux côtés des indépendantistes du FLN. Face à l'aveuglement de la France coloniale, comment ne pas prendre avec Vergès la défense de cette noble cause ? ...
Commentaires
Pour devenir un bon avocat, les étudiants doivent réussir autant de tests et d'examens. En tant que grand-parent de concurrents agressifs, j'ai constaté à quel point une partie de ces écoles est inégale. Une école ou une petite école financée par le gouvernement ne peut pas concurrencer. À un moment donné, notre groupe de pistes de l’école secondaire n’avait aucune piste à préparer, alors qu’une immense école chrétienne privée possédait une piste qui ressemblait vraiment à une université.
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Randy Bonnette - 08.10.19 à 06:56 - # -