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24
02
2008

John Rambo - Sylvester Stallone

7 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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John Rambo,

De

Avec S. Stallone, J. Benz, P. Schulze

Sortie le 6 Février 2008
 
John Rambo - Sylvester Stallone
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Vous aimez la poésie, les films d’auteur, le subtil art de parler culture sans jamais ennuyer, alors il faut faire un saut dans le cinéma le plus proche, où vous pourrez voir un film délicat et joliment ficelé, du nom élégiaque de JOHN RAMBO. Bien oui, quoi, la suite. Rambo IV, le retour, la revanche, ça va péter, et tout et tout. Quoi, vous aussi vous avez été gavé par les trois premiers, par ce soldat de l’ombre qui évite les balles et les roquettes comme Chirac évitait les procès (immunité filmologique) et qui pratique la chirurgie sur son propre corps avec un couteau stérilisé à la flamme d’un feu.
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John Rambo a au moins un mérite : il ne bouge pas d'un poil. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il n'a pas pris une ride, mais au moins, les spectateurs qui l'avaient laissé il y a vingt ans dans les montagnes afghanes en train d'exterminer une division soviétique, n'auront aucun mal à le reconnaître : taiseux, musculeux et mono-expressif à la limite de l'hémiplégie, avec un délicat côté Faut-pas-gonfler-Gérard-Lambert-quand-il-répare-sa-mobylette. Le monde a changé, l'Axe du Mal s'est décentré de la Place Rouge, mais tout ça n'a visiblement pas grande importance. Ce qui compte, c'est de trouver des méchants vraiment très méchants, et pour ça, on n'a encore que l'embarras du choix
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John Rambo est d'abord un personnage de roman crée par David Morell et si en France, l'ensemble des films portent très simplement le nom du personnage, le titre original renvoie lui au titre du roman : The First blood. Le premier sang. Le premier sang, ce n'est jamais Rambo qui le verse, seulement voilà, il y a toujours quelqu'un pour venir le sortir de sa quiétude et vouloir lui faire la peau. En 1982, Rambo permettait un débat sur le difficile retour des boys du Viet-nam. John Rambo est une victime. On a fait de lui une machine de guerre, un être de pur survie, on l'a laissé s'aguérir au combat avant de le jeter comme un vieux pailliasson à son retour chez lui.
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60 balais ! Stallone a 60 balais ! et il nous fout coup sur coup deux uppercuts, avec deux films jumeaux, Rocky Balboa et John Rambo. C'est exactement le même principe pour les deux films : Stallone revient, un peu paumé, dans un monde qu'il ne comprend plus, complètement désabusé. MAIS C'EST RAMBO. Et pour peu qu'on lui demande gentiment d'aller casser la greule d'obscures guérillas marxistes pour sauver une gonzesse qu'il ne peut pas s'empêcher d'admirer alors même qu'il ne croit plus en ce qu'elle défend, le mec il y va. Et il se bat. ET C'EST RAMBO
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J'ai peine à croire que le paragraphe sur l'histoire du film (tiré d'allociné) soit aussi long tant ce qui choque dans ce film, outre les litres de sangs déversés, c'est la dramatique pauvreté du scénario. Autant les épisodes précédents présentaient l'intérêt de voir le héros torturé entre son devoir de tuer et sa conscience autant là tout le film est développé sur une seule chose, montrer un maximum de violence en un temps minimum, que le spectateur ait l'impression d'en avoir pour son argent.
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Un an après Rocky, Rambo est de retour dans un film explosif. Et violent. La première scène où les militaires massacrent un village est franchement sanglante. On y entraperçoit même deux soldats séparer une mère et son enfant, puis balancer l'enfant dans les flammes. C'est cru. Et très intense. Les plans s'enchainent très rapidement sur cette séquence que je pense être finalement courte (même pas 2 minutes ). Et des comme ça, il y en a quelques unes dans le film. Le film donne donc dans le réaliste brutale que les quelques images d'archives d'ouverture permettent de rendre crédible.
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Un quart de siècle après ses premiers atermoiements, John Rambo rererevient. Le gros plein de muscles qui n'aime que flinguer tout ce qui bouge et pleurnicher en parlant du Viêtnam a élu domicile du côté de la Thaïlande. Il y mène une vie solitaire et sacrément intéressante : il attrape des serpents et fabrique ses propres couteaux. Le pied. Alors forcément, lorsqu'un groupe de missionnaires vient solliciter son aide, il finit par accepter, troublé par la jolie blonde du groupe (grosso modo la première femme qu'il entrevoit en dix ans). Cela lui permettra d'expliquer à qui l'ignorerait encore que la guerre, c'est moche, mais que buter des gens, c'est indispensable.
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Note : 2.8/5 (16 notes)


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