Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Culturopoing, Rob Gordon, Xav-B.Log, Asiaphilie
Je suis un cyborg, De Park Chan-wook Sortie le 12 décembre 2007 |
|
Acheter Je suis un cyborg sur Amazon |
Possible, probable qu’à sa sortie, ce film devienne aussitôt culte, étant donné son originalité, sa stylisation extrême et ses personnages hybrides entre humain et héros de BD, ses couleurs de bonbon anglais, son univers fantasmé entre rêve et réalité. Un film que le réalisateur Park Chan-wook, auteur déjà culte de la trilogie sur la violence composée de «Sympathy for Mr Vengeance», «Old boy» et «Lady vengeance», qualifie de comédie romantique ... Dans une usine d’ouvrières ayant l’air de poupées habillées de rouge sur fond vert, Young-Goon entend des voix transmises par les ondes radios ...
Lire la suite de la chronique de CinemaniaC.
La trilogie de la vengeance aura marqué les esprits au point d'enfermer Park Chan Wook dans l'image d'un cinéaste de l'extrême violence et de la prétendue provocation, tel un avatar coréen de Tarantino, mettant ainsi de côté son impitoyable cohérence métaphysique et politique. A moins de n'y voir qu'un simple pied de nez à ses détracteurs, les spectateurs espérant qu'il poursuivrait dans le même sillage risquent d'être tout autant déroutés que ceux qui, prenant pour argent comptant ses propos malicieux, attendaient une charmante friandise, une comédie sentimentale ...
Lire la suite de la chronique de Culturopoing.
Sa trilogie de la vengeance achevée, Park Chan-Wook avait le champ libre pour aller explorer d'autres univers. De la part d'un réalisateur adepte de la surenchère (ses films sont toujours construits sur ce principe, que cela se justifie ou non), on pouvait attendre une envie d'aller plus loin (si possible) dans la noirceur et le sordide. Grossière erreur de jugement : contredisant un titre français très réducteur, Je suis un cyborg a des allures de comédie romantique, un rêve doux et cotonneux ...
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
Synopsis : Suite à une tentative de suicide, la jeune Cha Young-Goon est internée dans un hopital psychiatrique. La bas un autre patient qui se cache derriere un masque découvre que la jeune fille se prend pour un cyborg. Rapidement il tombe amoureux d'elle et essaye de la guerrir.
Critique : Aprés en avoir fini avec sa trilogie sur la vengeance dont le point d'orgue etait Old Boy, le réalisateur coréen Park Chan-Wook s'offre une petite recreation avec un film bien plus leger meme si il se deroule dans un hopital psychiatrique. Les fans du réalisateur ne devrait cependant pas etre perdu par ce changement de style ...
Critique : Aprés en avoir fini avec sa trilogie sur la vengeance dont le point d'orgue etait Old Boy, le réalisateur coréen Park Chan-Wook s'offre une petite recreation avec un film bien plus leger meme si il se deroule dans un hopital psychiatrique. Les fans du réalisateur ne devrait cependant pas etre perdu par ce changement de style ...
Lire la suite de la chronique de Xav-B.Log.
Enfin ! Enfin j’ai pu voir le dernier et très attendu Park Chan Wook, sortit dans 8 ou 10 salles en France, parisiennes pour leur quasi-intégralité. L’auteur de l’excellente trilogie de la vengeance et qui prépare Evil Line, un film dont le nom parle de lui-même, s’était accordé avec ce film « une bouffé d’oxygène ». Et moi d’ajouter : « sacré bouteille, un beau ballon, une montgolfière, que dis-je un zeppelin ! ». L’histoire est simple : Young Goon est persuadée d’être un cyborg, en conséquence de quoi elle ne mange plus, et cherche à remettre à sa grand-mère, internée dans un hôpital psychiatrique pour schizophrénie son dentier ...
Lire la suite de la chronique d'Asiaphilie.