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01
06
2007

Irina Palm - Sam Garbarski

6 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Irina Palm,

De

Avec M. Faithfull, M. Manojlovic, K. Bishop
Sortie le 9 Mai 2007
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Drôle de comédie romantique démarrant comme un mélo. Maggie, veuve d’une soixantaine d’années, se rend tous les jours au chevet de son petit-fils Olly, atteint d’une maladie incurable. Apprenant qu’il existe un traitement en Australie pour lequel son fils et sa belle-fille n’ont pas le premier sou, Maggie s’épuise à trouver une solution pour réunir l’argent du voyage, ayant déjà vendu sa maison pour financer des traitements médicaux qui ont échoué. Mais sa banque lui refuse un prêt et quand elle répond à des offres d’emploi, on lui objecte qu’elle ne sait rien faire, de toute façon, elle est trop vieille ...
 

Eh bien un peu décevant ce film malgré la performance de Marianne Faithfull alias Maggie alias Irina Palm, la "best wancked women" de tout Soho qui va officier en plein au sexy World. Alors il n'est pas seulement question de "branlette" mais presque, derrière tout çà, la seule possibilité pour une femme qui n'a rien de donner ce qu'elle a, de donner de soi pour sauver son petit-fils atteint d'une maladie presque incurable ...
 

On nous aurait donc menti sur le plein emploi au pays du thatcherisme et du blairisme ! Après les ouvriers au chômage de Sheffield obigés de monter un spectacle de stip-tease dans "The Full Monty", voici donc une ménagère de plus de cinquante ans contrainte de devenir palucheuse professionnelle pour compenser les carences du système de santé britannique. Idée originale pour cette énième comédie dramatique à dimension sociale outre-manche (même si nous avons affaire à une production très européenne avec un réalisateur belge et des financements allemands, français et luxembourgeois, la distribution est entièrement anglo-saxonne et l'ensemble est très british) ...
 

Irina Palm de Sam Garbarski est un film intelligent et sensible qui évite bon nombre des écueils inhérents à ce genre d’histoire. Jugez en plutôt. Le petit-fils de Maggie, femme au foyer anglaise et veuve, est atteint d’une maladie rare. Sa seule chance réside dans un nouveau traitement qui ne se pratique qu’en Australie. Seulement, dans cette famille modeste qui a déjà tout sacrifié pour les soins précédents, le seul coût du séjour et du voyage, qui restera à leur charge, est un obstacle insurmontable. Alors, Maggie, une fois de plus va se battre et chercher de l’argent en prenant un travail. Mais quel travail s’offre à une femme de cinquante ans qui n’a jamais travaillé? Alors, ce sera « hôtesse » au SexyClub, où elle sera une main derrière le trou d’une cloison ...
 

Avec un nom pareil, Marianne Faithfull ne peut-être que complètement vertueuse. Dans « Irina Palm », elle est Maggie, une veuve qui, pour sauver son petit-fils Olly atteint d’une maladie rare, décide de travailler au Sexy World, un peep-show londonnien. Là-bas, elle masturbe des hommes à la chaîne. Si elle accepte ce job, ce n’est qu’en désespoir de cause. Maggie cherche du travail mais essuie les refus, probablement du fait de son âge. Les parents du garçon ne roulent pas sur l’or non plus. Pourtant, la famille à besoin de 6 000 livres. Grâce à cet argent, Olly pourra être soigné à Melbourne, en Australie, où il bénéficiera d’un nouveau traitement ...
 

Irina Palm, cela commence comme un drame et finit comme une comédie. Le drame, la maladie du petit fils de Maggie, la comédie: le moyen que trouvera Maggie pour réunnir les fonds pour envisager une couteuse mais inévitable intervention. Une comédie avec une Marriane Faithfull transformée en hôtesse dans un sex-shop , où elle officiera du poignet derrière une cloison . Timidement d'abord puis de façon experte et bien décidée à rassembler la somme nécessaire pour sauver son petit fils ...

Note : 2.8/5 (10 notes)


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Commentaires

Mélo ennuyeux, une bonne idée de départ qui ne suffit pas à faire un film ...

Comment a-t-on bien pu citer The Full Monty en référence à ce film ?
Voilà donc un mélo bien larmoyant (la mamie se dévoue corps et âme pour gagner l'argent nécessaire aux soins de son petit-fils atteint d'une maladie pas possible).
Certes l'idée de départ était plutôt bonne qui voyait la mamie prendre tous les jours le train depuis sa petite banlieue bien pensante pour aller branler la gente masculine dans un "club" de Soho.
Cette "veuve poignet" finira même atteinte d'un "pénis elbow".
Et bien voilà, c'est fini, l'idée est épuisée mais le film n'est pas fini qui brode et brode sur ce thème.
On goûtera bien quelques scènes amusantes : Marianne Faithfull en train d'officier consciencieusement dans sa petite loge, en "blouse à gros pois" et lisant un magazine féminin, ou encore prenant le thé avec ses voisines de banlieue et leur avouant sa nouvelle profession, ... Mais bon, pas de quoi tenir un film, gâché notamment par les scènes invraisemblables entre la mamie et son fils (le papa, donc).
La seule bonne surprise, c'est l'idylle qui se noue entre notre mamie poignet et le maquereau tenancier du club (avec un acteur méconnu et surprenant).

BMR & MAM - 20.05.07 à 21:42 - # -

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