Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Les irréductibles, Critiques clunysiennes, Blog Culturel, Xav-B.log, Dr Orlof, Chez Lo, Acide Critique, Cineniavlys, CinemaniaC
Inside Man, l'homme de l'intérieur, De Spike Lee, Avec D. Washington, J. Foster, C. Owen Sortie en salle le 12 avril 2006 | |
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(...) dans mon esprit deux petits lutins s'affrontent. le premier me dit que j'ai passé un agréable moment, plus de deux heures sans une once d'ennui et sans que ne retombe le suspense présent jusque dans les dernieres images.
Une raison donc pour affirmer que je reverrais ce film avec plaisir ..lors de sa sortie soit en dvd soit sur le petit écran.
Car cette super-production ( ben oui c'en est une..Non ?..et là c'est l'autre petit lutin ..il m'agace celui-là..allez zou..silence vilain nain de jardin..Lol) est certes terriblement bien construite , scénario haletant, et aussi ...et surtout des acteurs ( grosse affiche) formidables...mais elle peche par certains cotés ...
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Spike Lee est un petit filou. Il nous donne des indices, à commencer par le titre : quel est donc cet homme à l'intérieur ? Pourquoi ce premier plan frontal où Clive Owen nous livre la préface, tout en nous annonçant qu'il ne répète jamais les choses ? Lui, non. Mais Spike Lee ! Et ses indices sont tout aussi trompeurs que bien des éléments traditionnels du polar : armes, butin, victimes...
Trois hommes et une femme habillés en peintres pénètrent dans une banque de Manhattan, sortent des AK-47 et prennent en otages une cinquantaine de personnes ...
Trois hommes et une femme habillés en peintres pénètrent dans une banque de Manhattan, sortent des AK-47 et prennent en otages une cinquantaine de personnes ...
Lire la suite de la chronique chez Critiques clunysiennes.
Notre ami Spike Lee revient avec un bon petit film de genre super bien ficelé avec tout ce qu'il faut pour en faire un petit moment à déguster tranquillement avec en plus ce qui ne gâche rien au contraire son petit côté revendications où il montre, démontre si on avait encore quelques doutes... que le modèle américain, le melting-pot ne fonctionne pas aussi bien entre les "afro-americains", les "sikhs", ...d'un côté et la corruption, l'injustice et l'inégalité qui ravage le reste ... Vous avez un Denzel Washington dans le rôle du flic intègre un peu manipulé mais pas trop bête... Jodie Foster en carnassière à la machoire aussi impressionnante que ses jambes puis William Dafoe avec ce visage...
Lire la suite de la chronique chez Blog Culturel.
Synopsis : L'inspecteur Keith Frazier est soupçonné d'avoir détourné une forte somme d'argent lors d'une enquête, du coup sa carrière semble compromise et pourtant on lui confie le reglement d'un braquage en cours dans le quartier de Wall Street. L'inspecteur compte sur cette affaire pour redorer son blason.
Critique : Inside Man marque les débuts de Spike Lee dans le film de genre, le réalisateur étant généralement habituées aux comédies sociales black ou aux grand films historiques engagés. C'est aussi une première pour le scénariste Russel Gerwitz, ancien avocat...
Critique : Inside Man marque les débuts de Spike Lee dans le film de genre, le réalisateur étant généralement habituées aux comédies sociales black ou aux grand films historiques engagés. C'est aussi une première pour le scénariste Russel Gerwitz, ancien avocat...
Lire la suite de la chronique chez Xav-B.log.
Je serais bien embêté si vous me demandiez de me situer par rapport au cinéma de Spike Lee. D’une part, j’avoue avoir bien aimé ses premiers films (Nola Darling n’en fait qu’à sa tête en particulier) mais d’autre part, Malcom X (une réussite) est le dernier des Spike Lee que je connaissais, ce qui nous fait remonter, mine de rien, à plus de 10 ans. Or si l’on en croit la critique (mais faut-il croire les critiques ?), l’œuvre qu’il a réalisée durant ce laps de temps n’aurait rien d’inoubliable....
Lire la suite de la chronique chez le Dr Orlof.
Ce film est sorti il y a quelques temps déjà, et on en a beaucoup parlé. A raison, car c'est un film intelligent, dans lequel on va s'intéresser aux intentions cachées des protagonistes, à ce qu'ils portent à l'intérieur sans vouloir le dévoiler, et aux stratégies de manipulation. J'ai bien aimé la progression du film avec ces flash backs, ses différents rythmes et le ton léger ...
Lire la suite de la chronique Chez Lo.
En choisissant d'aborder une figure imposée du cinéma, le film de braquage, Spike Lee s'est plié aux codes imposés du genre, pour les dynamiter de l'intérieur.
Sa caméra toujours virevoltante nous entraîne dans une intrigue d'une grande subtilité, abordant somme toute des thèmes habituels chez Lee : les inégalités sociales et les discriminations raciales, celles d'aujourd'hui, celles d'hier. Il va même plus loin, mettant en effet en cause ...
Sa caméra toujours virevoltante nous entraîne dans une intrigue d'une grande subtilité, abordant somme toute des thèmes habituels chez Lee : les inégalités sociales et les discriminations raciales, celles d'aujourd'hui, celles d'hier. Il va même plus loin, mettant en effet en cause ...
Lire la suite de la chronique chez Acide Critique.
Les films de commande peuvent donner de très bons résultats. La preuve avec A History of Violence, de Cronenberg, et maintenant avec cet « homme de l'intérieur » ("Inside Man"), qui nous montre le talent de Spike Lee. Le film commence et finit par une musique d'Hollywood, très dynamique. Le scénario est excellent et intelligent, plein de rebondissements et de surprises ...
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Pendant une heure, c'est un polar de qualité supérieure, la demi-heure suivante, on rame du drame à l'humour, on s'enlise un pied sur chaque rive, et pour la dernière partie, c'est quasiment du registre de la comédie. D'ailleurs, la salle éclate de rire avec Denzel Washington qui plaisante au superlatif et l'acteur en fait des tonnes… Rire ou trembler, il faut choisir, Spike Lee n'a pas su, basculant dans la comédie satyrique, qui demeure sa marque, mais enrichie d'arrière-pensées commerciales… En deux mots, on pourrait dire que la première partie du film s'adresse à un public cinéphile et la seconde à celui des blockbusters hollywoodiens, ainsi, personne n'y trouvera son compte ...
Lire la suite de la chronique chez CinemaniaC.