Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Through my eyes, Rob Gordon, Sur la route du cinéma, Géraldine, Boustoune, Une toile pour deux, Cahier Critique, Devotionall
Incognito, D'Eric Lavaine Avec Bénabar, F. Dubosc, J. Quivrin Sortie en salle le 29 Avril 2009 |
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Sur un thème qui a souvent donné des oeuvres dramatiques comme, par exemple, "Le Mort saisit le vif" de Troyat, où un écrivain s'approprie le manuscrit d'un mort qu'il publie sous son nom à lui, une comédie, qu'est-ce que ça donne? En 1995, Lucas forme avec deux copains un groupe plutôt nul mais sincèrement entiché de musique "Orly sud" (à vérifier...) Peu de temps après, un des compères, La Glue, se tue en moto et l'autre, Thomas, meurt d'une overdose, fin de la rock attitude, Lucas retourne à la RATP... 10 ans plus tard, Lucas est toujours contrôleur d'autobus quand, par hasard, il tombe sur une vieille connaissance, Marion, une jeune femme qui va changer sa vie, le transformer en star et lui donner un enfant ...
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Quand on est convié à la projection d’Incognito, on a trois bonnes raisons d’avoir un léger préjugé. D’abord, c’est une comédie française. Ensuite, c’est une comédie française avec Franck Dubosc, mais aussi avec Bénabar. Oui oui, le mec qui chante. Enfin, c’est réalisé par Eric Lavaine, dont le premier et précédent film n’était autre que Poltergay (2006). Assez de raisons, vous en conviendrez, pour y aller méfiant ...
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Ce n'était pas gagné d'avance : le réalisateur de Poltergay qui dirige Franck Dubosc (en acteur ringard) et Bénabar (en chanteur), ça faisait un peu peur. D'où l'énorme surprise que constitue cet Incognito, comédie populaire imaginative et hilarante, qui propulse Éric Lavaine comme le possible héritier numéro 1 de Francis Veber (celui des films avec Pierre Richard et du Dîner de cons, pas celui de Tais-toi ! et des expériences ratées aux États-Unis) ...
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Et je dois dire que j’ai ri, beaucoup, malgré le titre sans personnalité, malgré l’affiche hideuse, malgré Franck Dubosc qui n’est pas connu pour toujours faire dans la dentelle comique, malgré Bénabar qui n’est pas acteur mais qui finalement l’est. Bref, beaucoup d’obstacles qui se franchissent aisément grâce aux talents réunis ici et permettent donc de passer un bon moment ...
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J'avoue, j'y allais un peu à reculons. Critiques mitigées et la présence envahissante de Dubosc m'avaient un peu refroidie. Finalement, j'ai passé un bon moment à regarder cette sympathique comédie familiale. Certes, ce n'est pas le film du siècle mais les répliques fonctionnent bien et les gags fusent ...
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’Incognito, le nouveau long-métrage d’Eric Lavaine. Encore un film que j’ai décidé d’aller voir un peu à reculons. Oui, j’avoue que la perspective de subir un film signé par le réalisateur de Poltergay avec Franck Dubosc dans un rôle de looser/parasite proche de celui qu’il incarnait dans Camping ou Disco ne m’enchantait absolument pas. Et le nom de Bénabar en tête d’affiche n’était pas pour me rassurer. Attention, je n’ai rien contre le chanteur, au contraire, j’aime même le Bénabar cinéaste (il est l’auteur d’un court-métrage plein d’humour noir, José-Jeannette) mais j’avais un peu de mal à l’imaginer comédien ...
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Je sais bien que Dubosc énerve. Son numéro de gros lourd est usé jusqu’à la corde. Sauf que je suis plutôt du genre veinard puisque je n’ai jamais vu ni Camping ni Disco et que l’humour à la Dubosc me fait encore rire. L’expérience est donc tentée avec le bon espoir de me faire rire par une après-midi bien pluvieuse. Bien m’en a pris ...
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le film a si peu d'originalité que ses principales péripéties se déroulent à la Fnac, à l'Olympia, au Grand Journal, etc. A ce stade, Incognito ne s'ancre même plus dans le réel, il avance carrément en terrain sur-balisé. Aucune once d'invention donc, on baigne en plein humour sitcom du début à la fin ...
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Incognito est la dernière comédie en date d' Eric Lavaine, avec Franck Bubosc et Bénabar. Il suffit de s'arrêter à ces mots, et déjà la liste des quolibets est prête à partir : humour bien lourd et franchouillard, Dubosc la quéquette à l'air et Bénabar qui en profite pour pousser la chansonnette, gags éculés et bien poussifs... ça c'est pour les quasi certitudes d'avant film. Et tout n'est pas faux ...