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12
2007

Favourite Worst Nightmare - Arctic Monkeys

5 chroniques recensées

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Favourite Worst Nightmare,



Publié en 2007
 
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Arctic Monkeys - Favourite Worst Nightmare

 

Quand j'ai entendu ici ou là qu'Arctic Monkeys, c'était le groupe qui claque et qu'il fallait écouter sous peine de louper une révolution musicale à la White Stripes ou Libertines, j'ai allégrement pris la tangente et j'ai, pour le coup, loupé le phénomène (il faut dire que je n'aime ni les White Stripes, ni les Libertines). Une petite écoute de leur précédent album (dont j'ai déjà oublié le nom) m'aura suffi : je n'ai pas accroché et je n'ai pas cherché à accrocher. Quelle ne fut donc pas ma surprise lorsque, il y a une dizaine de jours environ, je me suis retrouver à triper (ouais, carrément, « triper ») sur le premier single de leur dernier album (le deuxième si j'ai bien compris) ...  

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Début 2006, quasiment personne ne connaissait les Arctic Monkeys. Mais la magie du net et du buzz aidant, en quelques jours ce sont des milliers, puis des millions de personnes qui découvrent leur premier album: Whatever People Say I Am That’s What I’m Not. Le succès est immédiatement au rendez-vous, le groupe devient la révélation britannique de l’année 2006. A peine oublié, le groupe de Sheffield revient aujourd’hui avec Favourite Worst Nightmare. Dans leur situation, le deuxième album est celui de tous les dangers ...  

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J'ai préféré attendre pour celui-là. Parce que j'ai bien failli saquer à tort le premier. Il faut dire qu'avec le buzz qui entourait le légèrement surestimé Whatever you say I am, that's what I'm not, le contradicteur lambda a pris un plaisir manifeste à ruer dans les brancards de la hype, au point de négliger quelques excellents morceaux comme A certain romance. Pourtant, il faut bien reconnaître aux Arctic Monkeys un certain charme, celui du paradoxe. Car le groupe anglais le plus en vue du moment n'a franchement rien de bien excitant. Ses quatre membres semblent incapable de grommeler un bon mot, dispensent des prestations scéniques le plus souvent fades ... 

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La démarche force le respect. Depuis la sortie de leur premier single (il y a seulement 1 an et demi), les Arctic Monkeys refusent obstinément de jouer le jeu du business. Refus de passer à la télévision (à feu Top Of The Pops notamment, là où Eddie Argos aurait vendu son âme pour passer), absences aux nombreuses cérémonies de récompenses mainstream, sorties de nouveaux disques tous les trois mois (avec l'EP Who The Fuck Are The Arctic Monkeys puis le single "Leave Before The Lights Come On"), publication de leur second album un an à peine après le premier. Les Arctic Monkeys éditent leurs propres règles – et les fans suivent encore ... 

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L'objectif premier de ce blog était de "lutter" contre la hype, de privilégier les artistes passionnants mais sous-médiatisés (Espers, Jack The Ripper, Matt Elliott...) et les plus illustres et remarquables (Radiohead, PJ Harvey, Nick Cave...). Ne répertorier que des albums qui tiennent sur la durée, qui échappent aux modes, bref, ne pas tomber dans le "piège" de la presse rock qui a besoin de vendre du papier en prétendant tenir derrière le moindre EP prometteur "le plus grand groupe de rock du moment". Comme s'il fallait oublier la discographie exceptionnelle de Radiohead et des autres chaque fois que débarque un groupe pas trop mauvais ... 

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Note : 4.1/5 (13 notes)


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