Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Psykokwak, Culturopoing, Les irréductibles, Cahier Critique, Rob Gordon, Laterna Magica
El Niño Pez, De Lucia Puenzo Avec I. Efron, M. Vitale, P. Munne Sortie en salle le 6 Mai 2009 |
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Lucia Puenzo avant d’être cinéaste, est écrivain, et il y a une dizaine d’année, elle a publié El Niño Pez. Je n’ai pas lu le roman et le 8eme festival Vues d’En Face de Grenoble a eu la bonne idée de nous présenter en avant première française son adaptation cinématographique. Sa sortie est programmée pour le 6 mai. Lala (Inés Efrón), une adolescente de bonne famille de Buenos Aires, aime passionnément la jeune femme qui travaille au service de sa famille. Cette jolie brune, la Guayi (Emme) originaire du Paraguay est venue se réfugier chez eux alors qu’elle avait treize ans. Le secret qu’elle porte se dévoilera au cours de l’histoire. Les deux jeunes femmes entretiennent des liens amoureux intenses et elles projettent de vivre toutes les deux ensemble ...
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Nous avions découvert Lucia Puenzo à l’occasion de la sortie en France de son premier long-métrage « XXY », l’histoire d’une enfant hermaphrodite. Une interrogation sur l’identité sexuelle et les affres de l’adolescence. Auteur de plusieurs romans, elle s’intéresse de manière presque obsessionnelle à ce temps de vie où les êtres sont exacerbés par leurs propres paradoxes : dramatisation des incertitudes, croyance inconditionnelle que tout est possible, désir inextinguible d’une chose indéfinissable ...
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Amour passionnel, dévorant, excessif, Lala lui sacrifie tout, Guayl , comme dans ses rapports aux hommes, courtisée et désirée, dominante par le désir qu’elle inspire aux mâles est elle presque soumise dans sa passion qui l’unie à son amie.Les préparatifs de leur fuite, les suites inattendues d’une folle jalousie, mêlant le père de l’une qui n’est que l’amant de l’autre. Les révélations qui là-bas sur les rives du lac, dans les eaux duquel git un douloureux secret ...
Lire la suite de la chronique chez Les irréductibles.
« Ca finit bien ? » « Je ne sais pas. » « Invente. » Cet ultime dialogue, désolé et consolant, résume plutôt bien El niño pez. On ne saurait dire s’il finit bien, ni même s’il finit véritablement, Lucia Puenzo nous refaisant le coup archi-usé de l’enchevêtrement du début et de la fin. A l’instar d’Alex dans XXY, mi-fille mi-garçon, le film se veut mi-polar mi-regard sensible sur la jeunesse. Une jeunesse perturbée et envoûtée par l’amour, homosexuel, étouffant, naïf. Ici, au trouble adolescent s’adjoint le trouble narratif, comme pour épouser le sentiment d’égarement qui ébranle Inès Efron ...
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Après l'excellent XXY, on attendait beaucoup du retour de Lucía Puenzo. Hélas, trois fois hélas, la réalisatrice livre avec El niño pez un film bâtard et pataud, qui ne convainc que par la qualité de son interprétation. La première bizarrerie du film est qu'il débute un peu n'importe comment, comme s'il manquait une bobine au début. Voire bien plus ...
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El Niño Pez, littéralement l’enfant-poisson, fait référence à une légende locale qui est racontée au cours du film et qui donne une profondeur poétique au récit. En cela, El Nino Pez ressemble énormément au précédent film de Lucia Puenzo XXY, Grand Prix de la Semaine de la Critique à Cannes en 2007 ...
Lire la suite de la chronique de Laterna Magica.