Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
BMR & MAM, Blog Culturel, Psykokwak, Les irréductibles, Rob Gordon, Uniko, Chez Lo, Une toile pour deux, Cinémapolis, Antigone
Ceux qui restent, D'Anne Le Ny Avec V. Lindon, E. Devos, Y. Jappain Sortie en salle le 29 août 2007 Disponible en DVD |
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Un sans faute, rien que ça, pour Anne le Ny qu'on connaissait déjà comme actrice mais dont c'est le premier film. Allez vite voir Ceux qui restent : on est encore sous le charme et ce sera certainement l'un des meilleurs films de notre année ciné. Si, si. Vous aurez le privilège d'assister à un moment rare : la rencontre, la naissance d'une histoire entre deux êtres dont la vie s'est arrêtée en plein vol ...
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Un très beau film que cette partition concoctée par Anne Le Ny que je connaissais avec le très bon Vincent Lindon et l'excellente Emmanuelle Devos. Ceux qui restent, ce sont Bertrand et Lorraine qui pour l'un arpente depuis près de 5 ans les couloirs de l'hôpital vers cette chambre 34 où réside sa femme atteinte d'un cancer du sein, le quotidien entre sa vie de professeur ses relations tumultueuses où plutôt inexistantes avec sa belle fille et ce lieu d'attente. C'est là qu'il rencontre une Emmanuelle Devos qui débarque dans cet univers surréaliste pour certains et qui, très vite, ne supporte pas, n'arrive pas ou plus à gérer sa relation ...
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De l’amour Bertrand en a assurément pour Cécile, à qui, chaque après midi, il rend visite sur son lit d’hôpital pour l’accompagner dans la lutte qu’elle mène depuis 5 ans contre son cancer. Fidèlement il se bat à ses cotés, y compris pour forcer Valentine (la fille de Cécile de 16 ans) qui fuit tout à la fois ce beau-père qu’elle n’aime pas et cette mère malade qui lui vole sa jeunesse. De son coté Lorraine, découvre avec angoisse que la maladie de son compagnon fait ressortir en elle son « coté Mère Teresa, mais en plus sexy » ...
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C'est l'histoire d'une rencontre. Entre Bertrand (Vincent Lindon) qui depuis longtemps déjà hante les couloirs de cet hôpital où sa compagne lutte contre un cancer. C'est Bertrand qui au sortir de cette chambre, jamais nous n'y pénétrerons, la réalisatrice Anne Le Ny dresse une porte telle un rempart à la pudeur mais surtout afin de bien nous signifier que le sujet ici est " Ceux qui restent " , ceux qui vont et viennent indemnes mais pourtant marqués. Comme Lorraine (Emmanuelle Devos) qui se heurte dans ce couloir à Bertrand ...
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Il est de bon ton d'applaudir des deux mains lorsqu'un sujet potentiellement putassier est traité avec une retenue inattendue. Alors bravo à Anne Le Ny, qui pour son premier film a su trouver le ton juste et raconter une histoire d'hôpital sans jouer la carte du misérabilisme et des violons. Ceux qui restent se focalise sur les proches des malades, et eux uniquement, qui souffrent en silence, convaincus que se plaindre de leur sort serait indécent ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.
Lorraine vit. Elle ne veut pas hypothèquer son existence pour la maladie et les souffrances de son copain. Elle cherche d'embler à prendre de la distance, à ne surtout pas devenir comme Bertrand, elle n'en a pas les épaules. Bertrand ne vit plus. Il attend la mort. Celle de sa femme ou la sienne, on ne sait pas trop. C'est une machine, il ne réfléchit plus et fait invariablement les mêmes gestes, tous les jours. Comme si la future mort de sa femme rythmait sa vie ...
Lire la suite de la chronique chez Uniko.
Pour un scenario grave et profond, Anne Le Ny a préféré l'émotion humaine à la noirceur pathétique. Son parti pris de ne jamais filmer de scène à l'intérieur même des chambres où sont alités les compagnons respactifs de Bertrand et Lorraine fait porter l'attention du spectateur sur la vie de Ceux qui restent, sur cette relation entre deux personnes bien portantes qui souffrent profondément. pour eux et leurs proches ...
Lire la suite de la chronique Chez Lo.
Une heure et demi dans un hôpital, et jamais on ne voit un malade. Pour une fois, on se penche sur ceux qui souffrent indirectement, ceux dont la peine est d'assister impuissant à la déchéance d'un être proche. Après une rencontre assez cocasse dans les couloirs de l'hôpital, Bertrand et Lorraine vont se soutenir dans cette épreuve qui les rassemble : la maladie de leur conjoint. Petit à petit, un drôle de sentiment prend naissance chez Bertrand chaque fois qu'il se rend à l'hôpital. Un sentiment mélangeant tristesse et joie, tristesse de mourir un peu avec sa femme, et joie de revivre avec Lorraine ...
Lire la suite de la chronique d'Une toile pour deux.
C'est un très beau premier film que nous présente la comédienne Anne Le Ny à travers une vision réaliste de ceux qui accompagnent leurs proches dans la maladie. La finesse de la caméra et le jeu sans fioriture de Vincent Lindon et d'Emmanuelle Devos forment un ensemble fort concentré sur un temps figé et douloureux ...
Lire la suite de la chronique de Cinémapolis.
D'une manière sobre et émouvante, sans en faire de trop, ce film nous parle de ceux qui restent, de ceux qui arpentent les couloirs, viennent à heure fixe, connaissent par coeur les mécanismes de ce microcosme qu'est un hôpital, de ceux qui restent en dehors, continuent de vivre, parce qu'il le faut bien. Nous ne pénétrons jamais dans les chambres ...
Lire la suite de la chronique d'Antigone.