Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
King Kong Théorie, De Virginie Despentes Publié chez Grasset en octobre 2006 |
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Elle nous charme pendant des pages, les moches, les mal baisées, les qui voudraient bien mais qui peuvent pas, les qui peuvent mais qui ne veulent pas, les conditionnées à l’anorexie pour séduire qui aimeraient bien manger quelque chose une fois dans leur vie, ce franc-parler, cet humour, ce style, comme dirait « Elle », « à la rédac, on adoooooore… (voir l’épais dossier «sexe» de «Elle» cette semaine… Michèle Stouvenot dit dans le JDD d'hier que ça a remplacé les fiches cuisine…). On en arrive à se demander pourquoi on n’a pas pensé plus tôt à devenir soi-même féministe, pour peu on noterait des références de lecture… Une parenthèse en passant, ce n’est pas par hasard que je cite tout le temps le magazine « Elle » (...)
Lire la suite de la chronique de CinémaniaC.
Le livre de Virginie Despentes se lit en une heure et je ne peux être qu’admiratif devant l’effort qui consiste à donner avec des phrases simples, des pensées fortes et claires, des raisonnements imparables, un état du féminisme d’aujourd’hui. A travers, bien sûr, une autobio qui n’est pas banale : mais en la mettant au service d’une cause. On peut évidemment lui répondre que son autobio explique (au moins en partie) ses positions théoriques et politiques, mais elle récuserait je suppose l’explication. On peut aussi rester réticent sur cette fraction du féminisme (la biblio à la fin du livre est impressionnante) qui exige avant tout la liberté pour les travailleuses du sexe (...)
Lire la suite de la chronique de Yves Duel.
Le première chose qui aurait tendance à me venir à l'esprit après lecture de ce livre serait "prends-toi ça dans ta tête", mais je pense que ça serait pas assez précis pour décrire son impact sur mon neurone. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est une révélation, parce qu'au fond, tout ça, c'est un peu ce que je pense (bon d'accord, je n'ai pas subi le viol ni testé la prostitution), mais là, c'est dit avec une telle justesse, une telle franchise que je ne peux que crier au génie (...)
Lire la suite de la chronique de Suny.