Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Rob Gordon, Norman Bates, Blog Culturel, Xav-B.Log, Through my eyes, Cinemapolis, Culturopoing
28 semaines plus tard, De Juan Carlos Fresnadillo Avec R. Carlyle, R. Byrne, J. Renner Sortie le 19 Septembre 2007 |
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Une Angleterre en forme de no man's land, dévastée par un virus zombie : tel était le décor de 28 jours plus tard, errance cahotique au pays des morts-vivants, hommage et coup de jeune offert par Danny Boyle et Alex Garland aux films de George Romero. Il n'était pas illogique que cette brillante relecture donne naissance à une suite ...
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
J'espère que Juan Carlos Fresnadillo (que je salue, c'est fait) ne va pas lire cette note. Parce que je vais être relativement peu tendre avec son film et parce que je risque fort d'être très injuste, voire même de mauvaise foi. Il faut dire que les films de Zombie et les films post-apocalyptique sont ceux que je préfère, j'ai même un amour immodéré pour tout film rappelant vaguement ces deux thèmes. Vous me comprendrez aisément alors de tant en vouloir à ce film, qui réunit ces deux genres, surtout quand c'est sensé être la suite d'un excellent film ...
Lire la suite de la chronique de Norman Bates.
Samedi, on m’a venté les mérites sublimes de 28 semaines plus tard et notamment la scène du début du film. Alors certes, elle est excellente, vivifiante et tonitruante mais bon, on va quand même pas en faire tout un foin non… Surtout que la suite est indescriptiblement mauvaise sauf la musique… seule note relativement positive sur ce film et je m’en vais fourbir mes armes et acérer ma lame pour couper quelques mains ...
Lire la suite de la chronique de Blog Culturel.
Synopsis : 28 Semaines après la déferlante du virus de la rage sur l’Angleterre, la situation semble revenue a la normale. Grace a l’armée américaine, les premiers civils sont autorisés à revenir à Londres dans un quartier sécurisé. Mais le virus etait seulement en sommeil et ne tarde pas a revenir.
Critique : Pour ce second volet, Danny Boyle abandonne son poste de réalisateur qu’il confie a l’espagnol Juan Carlos Fresnadillo, pour prendre celui de producteur exécutif avec son auteur fétiche Alex Garland. Le nouveau cinéaste dont c’est le troisième film a participé aussi a l’élaboration de cette nouvelle histoire. On aurait pu craindre que ce changement d’équipe nuise a l’ambiance vraiment unique qui se dégageait de 28 Jours Plus Tard Il en est heureusement rien. ...
Critique : Pour ce second volet, Danny Boyle abandonne son poste de réalisateur qu’il confie a l’espagnol Juan Carlos Fresnadillo, pour prendre celui de producteur exécutif avec son auteur fétiche Alex Garland. Le nouveau cinéaste dont c’est le troisième film a participé aussi a l’élaboration de cette nouvelle histoire. On aurait pu craindre que ce changement d’équipe nuise a l’ambiance vraiment unique qui se dégageait de 28 Jours Plus Tard Il en est heureusement rien. ...
Lire la suite de la chronique de Xav-B.Log.
J’avais une volonté un peu molle à l’idée d’aller voir ce film, à cause d’une bande-annonce époustouflante qui faisait face à une peur terrible de tous ces films ou je sais que je vais passer plus de temps les yeux fermés à craindre l’arrêt cardiaque, qu’a vraiment profiter du film. Pensez-donc, j’ai des montées de tension devant Bambi ...
Lire la suite de la chronique de Through my eyes.
A chacun sa vision, à chacun sa façon d'en parler. En 2002, Dany Boyle dépoussiérait le film de zombie en signant 28 jours plus tard. Le réalisateur de Trainspotting filmait alors la trajectoire d’un groupe de survivants dans un Londres vide, en proie à un virus féroce qui transforme l’homme en bête sauvage assoiffée du sang de ses semblables. Inspiré, le film avait marqué les esprits ...
Lire la suite de la chronique de Cinemapolis.
Tout d’abord, attardons-nous sur une idée toute faite, un préjugé persistant qui réduit le film de zombie – voir le cinéma de la peur en général – à un genre décérébré pour décérébrés en mal de viande avariée. Certes, pour ceux qui ne s’y sont jamais penchés et qui conçoivent un Art qui ne dérange pas, n’ébranle pas les certitudes, ce jugement est sans appel. Pourtant d’une z-rie italienne aux bavardages narcissiques de certains films d’auteur français, la médiocrité s’attaque à tous les genres sans exception ...
Lire la suite de la chronique de Culturopoing.