que de la poudre aux yeux !!! et coup d'édition!!!

rachel boutonnet alias geffray, vous modifiez votre parcourt à des fins éditoriaux et cela, ce n'est pas bien du tout!!! Vous  avez en vérité, une licence ou maitrise d'histoire et n'avez jamais envisagé de devenir institutrice avant d'echouer au CAPES cinq fois....Alors votre texte `dans lequel vous vous presentez comme ayant toujours désiré devenir instit me fait doucement rigoler! Votre mauvaise foi doit venir certainement de là concernant l'education nationale: Vous l'avez mauvaise , et encore, on vous a quand meme recruté, ce qui semble etre un comble au regard de ce que vous défendez!

vous me faites penser à tous ces courants réactionnaires , religieux et autres que l'on voit naitre depuis quelques années: Si on s'avise à les critiquer, on passe pour des bruleurs de sorciéres! Ce courant et cette mauvaise foi doivent vous parler.

Mais bon vous avez trouvé un bon moyen de vous faire de l'argent , si votre livre se vend.....Aussi, aucun étonnement à cela puisque c'est monnaie courante dans votre famille de procéder comme cela: On appelle cela des vendeurs de sommeil!

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Peu importe que R.Boutonnet ait une licence ou une maîtrise d'histoire ou de philo ou de chinois. Ce n'est pas ce qui est demandé pour accéder au concours de prof des écoles. Si elle s'est plantée plusieurs fois au capes, ça aussi quelque part ce n'est pas important. Ce qu'il l'est, en revanche, c'est que son premier livre m'a refait vivre l'horreur de la deuxième année où les formateurs nous considèrent à la fois comme des collègues mais aussi comme de jeunes sots qu'il faut formater voire casser. J'aurais pu écrire la même chose à la virgule près. J'en garde un souvenir affreux. Mais le pire, c'est lorsque j'ai été nommée sur un CP ma première année : une amie m'a formée durant tout l'été et heureusment, je ne savais pas comment m'y prendre! A l'époque j'avais déjà mes 2 enfants en bas âge, j'habitais à 50 km (route de campagne) de l'iufm. Je ne les ai pas vu cette année là. Le pire a été le dernier stage en responsabilité où j'ai été a deux doigts de ne pas être validée : et oui, la semaine de préparation je ne l'avais pas faite et pour cause... Ma fille a été victime d'une très mauvaise fracture du cubitus qui, au terme de l'opération, laissait un gros doute sur la future mobilité de son bras droit! Ca on ne me l'a pas pardonné! Bon j'ai osé avouer que je m'ennuyais un peu en cours, comme quoi il faut se taire! Ce qui est assez amusant, si je puis dire, c'est qu'on me reprochait mes fiches de préparation pas assez comme ça ou comme ci. Une amie (12 ans de métier) a donc volé à mon secours... selon les IMF venues me visiter, ces fiches étaient nulles!! Bon. J'ai donc lancé un S.O.S à mon cousin (conseiller pédagogique) qui m'a aidée à faire ces fameuses fiches. Résultat? Elles étaient tout autant nulles!!! Quelle objectivité! Bref, l'aventure s'est terminée à l'hôpital : tentative de suicide.Je n'ai eu la vie sauve que grâce à l'intervention de mon prof de techno qui m'a appelée ce jour là et qui s'est démené pour prévenir les secours (mes collègues, puisque je suis aussi pompier) Et oui, c'est aussi ça l'iufm. Total de cette année, mon cousin est intervenu au sein de l'iufm (il était légèrement furieux), il a dénoncé une cabale, suivi en cela par le prof de techno, de maths, de français... Résultat, j'ai été punie. Oui, oui, punie! En tant que moniteur de secourisme il était prévu que je forme mon groupe à l'AFPS (premiers secours), et bien suite à cela, je n'avais plus le droit de les former, mais d'en former d'autres. N'importe quoi! 

Alors franchement, que Mlle Boutonnet ait ou non les diplômes qu'elle dit avoir, qu'elle ait passé plusieurs un capes, on s'est fout royalement (et oui, je parle mal, mais je suis furieuse), ce qu'il faut voir, c'est que son témoignage reflète ce que 95% des "formatés" pensent et ce, même des années plus tard. L'iufm, c'est vraiment 1984, c'est une tentative de broyage de l'être humain et il faut être super fort dans sa tête pour ne pas sombrer durant cette année, voire pour certains, sombrer l'année qui suit ou quelques années plus tard(je tiens cela de différents témoignages de collègues)

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Tout à fait d'accord !

Fraîchement sortie de l'IUFM (cette année...), j'ai passé là-bas deux ans à me dire que je perdais mon temps et que je devais me faire une formation parallèle si je voulais, un jour devenir une instit' compétente. Et à ronger mon frein pour ne pas dire à tous ces profs d'IUFM ce que je pensais de leur enseignement et de leur manière de considérer leurs étudiants. Car pour avoir sa formation validée, il faut absolument les caresser dans le sens du poil. Leur dire qu'ils ont raison, et que sans eux, on ne s'en sortirait pas. Si tu dis cela, tu es sûr d'être validé ! Peu importe le fond : l'important, c'est la forme ! L'IUFM n'est pas une formation, c'est une évaluation.

Bien qu'ayant fréquenté un autre IUFM que celui de Rachel Boutonnet, j'ai l'impression d'avoir vécu la plupart des situations qu'elle décrit dans son livre. J'étais moi-même l'une des seules a oser prononcer (mais pas trop fort et sans que les formateurs ne m'entendent) le mot Bocher (orth ?) à l'IUFM. C'était là-bas un mot complètement tabou !! Même pas le droit d'émettre l'idée que, peut-être, on pourrait  analyser cette méthode ! Non ! On n'a même pas le droit de la regarder ni de prononcer son nom !

Dingue, ce bourrage de crâne !

A l'IUFM, on n'apprend absolument pas comment expliquer les choses aux enfants. On apprend juste à les "mettre en groupe", puis à faire une "mise en commun" (de quoi, ça, on ne sait pas...). C'est ce qu'on nous a fait faire pendant deux ans à l'IUFM, sans grande efficacité ! Ah ! On en a gaspillé, des heures en groupe, pour faire des choses dont on ne sait pas si elles sont bonnes ou non, vu que les profs s'abstiennent absolument de faire des apports extérieurs !

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Je suis completement de ton avis. En effet son désir etait de devenir Prof de Philo et non pas simplement Instit. (sa soeur en revanche a réussit le CAPES) en effet autant d'echec au Capes, et on devient aigrie!

Surprenant tout de meme cette jeune stagiaire qui des les premeires heures de formation a l'IUFM note scrupuleusement sur un cahier, tout  ce qu'elle fait.;;BIEN EVIDEMENT SANS AUCUNE ARRIERE PENSEE  DE PUBLIER RAPIDMENT UN LIVRE SUR LE SUJET...

ALors Madame Boutonnet, votre reussite a vendre vos ouvrages..tant mieux cela compense votre rétribution de fonctionnaire, mais dommage que vous soyez aussi aigrie envers vos précédents échecs, envers les autres enseignant d'ecole maternelle et élementaire heureux de travailler avec des éleves, c'est ce qu'il semble vous manquer...dommage pour vous meme mais surtout pour vos éleves qui ne connaitront pas le plaisir d'apprendre avec une enseigannte épanouie

← Re: que de la poudre aux yeux !!! et coup d'édition!!!

Je viens de lire le livre de Rachel Boutonnet (j'en avais pas mal entendu parlé) et en cherchant des avis sur ce livre, je suis tombée par hasard sur ce blog et j'ai été plutôt surprise et relativement choquée par certains commentaires. Je trouve les commentaires sur sa vie personnelle, professionnelle et sur sa soi-disante volonté de se remplir les poches particulièrement mesquins et en grande partie faux (je me suis renseignée et elle n'a touché que très peu d'argent pour son livre). Vous devez avoir peu de vrais arguments à opposer au fond si vous n'avez trouvé que ce genre de critiques à faire ! En tout cas, ce genre de commentaires montrent bien que son livre a fait mouche et qu'il permet enfin d'ouvrir un vrai débat sur l'enseignement dispensé à l'IUFM et sur l'école en général. Ce livre fait écho à beaucoup d'autres souvent moins connus et correspond parfaitement aux remarques faites dans mon entourage (mes parents sont instit, ma soeur est prof et j'ai pas mal d'amis dans l'enseignement). Je comprends très bien qu'elle ait eu envie d'écrire des commentaires sur ce qu'on lui enseignait pour pouvoir plus facilement supporter les cours, ne pas mourir d'ennui, et pourquoi pas écrire un livre (écrire est une pratique très courante pour un littéraire, on s'en doute). Je suis dans une "grande école" (dont je ne vais pas citer le nom, évidemment) et la propagande, le bourrage de crâne, l'habitude de fermer sa geule pour ne pas se faire saquer ou être marginalisée, je connais !

 En tout cas, c'est un très bon livre, solidement argumenté et qui rend compte d'une réalité assez terrifiante ! Quand je discute avec des parents, je vois bien que leur confiance en l'école s'effrite : ils trouvent en général que leur enfant lit et écrit mal, que les cahiers ne sont pas toujours bien tenus, que des lacunes persistent... Alors, ceux qui le peuvent achètent un livre de lecture en librairie (des méthodes syllabiques comme la méthode dont parle rachel ou encore Ratus sont des best-sellers) et apprennent à leurs enfants à lire. Je n'arrivais pas à croire cette réalité après avoir lu le livre de Rachel Boutonnet (ça semble tellement incroyable pour un profane !!!), alors j'ai demandé à plein de parents, j'ai fait des recherches... et j'ai du accepter l'ampleur du désatre (avant de m'intéresser à ces questions, je me doutais bien qu'il y avait quelque chose de pourri au royaume du Danemark mais je ne m'imaginais pas à quel point !). Descartes disait (eh oui, je fais encore partie de ces éléphants qui citent Descartes) que le bon sens est la chose au monde la mieux partagée. En fait, j'ai de plus en plus l'impression qu'en matière d'éducation, on a oublié tout bon sens. Le livre de Rachel Boutonnet en est un bon exemple...

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Note du webmaster :

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Monsieur le webmaster (je ne sais pas exactement ce que ça veut dire) je vous félicite d'avoir publié les critiques telles qu'elles vous sont parvenues, sans les édulcorer. Le manque de fond et la mauvaise foi patente de certaines sont suffisamment parlantes.
Pour ma part, je partage en grande partie les critiques que Rachel a fait du système et, d'ailleurs, j'ai écrit un ouvrage (que j'aimerais publier) où je relate mes expériences et mes observations vécues en tant qu'instituteur en classe unique. J'ai moi-même été attaqué pour avoir créé ma propre méthode d'enseignement de la lecture au CP: mon inspecteur de l'époque n'a pas voulu voir ma réussite en matière de lecture au CP (mes élèves avaient pourtant été évaluées par la psychologue scolaire agrée et selon ses propres tests qui, je suppose, étaient les tests en vigueur à l'éducation nationale) et a baissé ma note pédagogique. Ainsi, le système privilégie bien la ''forme de l'enseignement'', celle qui ''doit être mise en pratique'', et ne se soucie guère de la réussite des élèves.
J'espère que, dans l'avenir, on pourra enfin discuter le fond, sans tabou, avec le souci de faire progresser les méthodes, pour le plus grand bien de nos élèves. Si l'occasion m'en était donnée, je serais prêt à débattre de façon constructive avec n'importe qui.

le fond du problème

mère de 2 enfants je vis depuis des années le gouffre d'inculture dans lequel l'école les a mis
l'ainé a eut la chance d'échapper à la lecture globale et le second celle d'avoir un instit faisant de la semi-globale mais avec en CE2 une jeune instit sortant de IUFM et désolée j'ai été choquée faisant des fautes d'orthographe en corrigeant et je vois autour de moi des parents passant leurs soirées (et les enfant aussi aprés une journée bien remplie ) a apprendre à lire avec des méthodes syllabiques , et encore il s'agit d'enfant "privilégiés" le plus effarant étant que le collège pourssuit aussi le schèma matière bouche trou (comme itinéraire de découverte sur une année de 4ième assuré par un prof de math et de sport en binome production????), nouvelle pédagogie hétérogénéité des classe  ; alors débat ou pas sur Rachel Boutonnet la n'est pas le problème je conseille aussi la lecture de "la fabrique du crétin" de Mr Jean Paul Brighelli ou j'ai retrouvé aussi des constations sur l'incurie de l'école déjà vécue dans ma vie de mère .L'éclairage sur la reconstruction urgente de l'école ne peut ni ne doit être ingnorée .

le fond du problème

Je suis moi-même en train de lire ce livre et en cherchant des commentaires je suis tombé sur ce blog.
Dans un premier temps, j'ai été choqué par les critiques négatives qui ont été faites sur ce livre, car elles ne relèvent nullement d'une réflexion mais d'une raction viscérale. Après tout, si l'on écrit un livre c'est bien pour qu'il soit lu, et il faut donc qu'il soit publié, n'est-ce pas ? Sans faire d'angélisme, je ne doute pas des intentions de Rachel Boutonnet.
Alors soyons "rigoureux": tout lecteur capable de lire entre les lignes remaqruera qu'il y a énormément de ressentiment, et peut-être un léger manque de "prise de distance", derrière la critique qui est faite des IUFM. C'est un fait, ce livre n'est pas objectif. Ceci dit, pour l'avoir vécu, je peux confirmer que le comportement de certains (beaucoup, malheureusement) formateurs et formatrices est pour le moins "extrême" et je ne parle pas de cette épée de Damoclès qu'est la titularisation, épée dont ils n'hésitent pas à rapeler la présence à longueur de temps.
On ne peut pas nier non plus les ravages qu'ont fait certaines méthodes dites "modernes", nous en avons la preuve tous les jours (et j'en ai été victime moi aussi... il a fallut que je me résigne à potasser le bon vieux Bescherel à 29 ans, si, si !); mais ne rentrons dans les jeux trop faciles des "c'était mieux avant" et "c'est nouveau, donc c'est mieux".
Les IUFM vont mal et il faut faire quelque chose, mais les supprimer ce serait encore pire. Il y a trop de guerre des écoles, trop de conflit entre diverses approches, diverses idéologies (et même des conflits d'intérêts !) et au final il y a encore énormément de zones de flou. Les jeunes profs et instits en paient aujourd'hui les frais.

I agree with many of Rachel's concerns

I agree with many of Rachel's concerns of the education system, and I've even written a book (which I want to have published) in which I detail my experiences and observations in the classroom. Personally, I came under fire because I developed my own approach to teaching reading in CP, and my inspector at the time did not want to super mario bros see my success in this area (despite the fact that my students had been evaluated by the approved school psychologist and using her own tests, which I assume were the tests in force at the national education level). Since the system prioritizes the "form of teaching" that "must be put into practice," I can only hope that in the not-too-distant future we will be able to talk openly about the subject matter, while also worrying about improving our teaching strategies for the benefit of our students. If given the chance, I'm up for engaging in a healthy argument with anybody.

 Rachel réalise que la formation qu'elle a reçue à l'IUFM ne lui a pas donné toutes les clés pour faire face à ces défis. Mais elle se rend aussi compte qu'elle a appris des choses précieuses sur elle-même, sur ses convictions et sur son rapport à l'éducation. Elle est déterminée à continuer à apprendre et à s'améliorer, et à ne jamais cesser de remettre en question les discours établis. tunnel rush 2 

Our rectangular cabin was as ingeniously

Our rectangular cabin was as ingeniously laid up as a Rubik's cube, with a living area that led out to phrazle a terrace and a simple toilet and office hidden away under the sleeping loft. Eastwind Oliverea Valley, the brand's newest hotel in the region, has 27 luxurious suites and is located in the heart of the Big Indian Wilderness. 

good

 Embrace the challenges as opportunities for growth, and don't hesitate Tunnel Rush to seek support and guidance when needed.

 This is a classic case of conflict between personal expectations \"Google Sans\", Roboto, sans-serif","16":9}" style="font-size: 9pt; font-family: "Google Sans", Arial; color: rgb(31, 31, 31);">Pokerogue and what the education system actually provides.