Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Critiques clunysiennes, Peyomedia, Xav-B.log, Blog Culturel, Cineniavlys, Sirensorrento, CinemaniaC, Loisirs & Co, Shin
OSS 117, Le Caire nid d'espions, De Michel Hazanavicius, Avec J. Dujardin, B. Bejo, A. Atika Sortie en salle le 19 avril 2006 |
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1955, Jack, l'agent de l'OSS en poste au Caire a disparu, en même temps qu'un mystérieux cargo soviétique. Les services secrets français décident alors d'y envoyer Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117, d'autant plus que depuis la guerre, il était le meilleur ami du disparu. Dans la capitale égyptienne, il est pris en main par Larmina, la secrétaire de Jack dans la société d'élevage de poulets qui leur sert de couverture. Comme l'indique le titre, et comme le répètent à satiété les personnages, Le Caire est un nid d'espions : KGB, anciens nazis, agents britanniques, frères musulmans, nostalgiques du roi Farouk, il n'y a que le concurrent belge ...
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Hubert Bonnisseur de la Bath alias OSS 117 est agent secret au service du président René Coty. Envoyé en mission en Egypte, sa vision colonialiste du monde, son ignorance des particularités non françaises et son côté mysogine se heurte au monde arabo-musulman. Adapté des romans d'espionnage écrits par Jean Bruce et parus entre 1949 et 1953, la huitième apparition au cinéma de OSS 117 s'avère être plus un détournement du genre qu'un film d'espionnage classique. Et quelle réussite ! Michel Hazanavicius et Jean-François Halin qui ont tout deux co-écrits ...
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Synopsis : En 1955, l'espion français Hubert Bonisseur de la Bath dit OSS 117 est envoyé au Caire pour enquéter sur la disparition de l'agent infiltré sur place.
Critique : OSS 117, le Caire nid d'espion est la huitième adaptation cinématographique de la série de livres écrit parr Jean Bruce entre 1949 et 1963. Là où les précédents films gardaient le ton des romans proche de l'univers des James Bond de Ian Flemming, cette nouvelle adaptation se veut cette fois-ci parodique en cumulant les clichés sur la France de 1955 et en faisant de son héros un parfait crétin. ...
Critique : OSS 117, le Caire nid d'espion est la huitième adaptation cinématographique de la série de livres écrit parr Jean Bruce entre 1949 et 1963. Là où les précédents films gardaient le ton des romans proche de l'univers des James Bond de Ian Flemming, cette nouvelle adaptation se veut cette fois-ci parodique en cumulant les clichés sur la France de 1955 et en faisant de son héros un parfait crétin. ...
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Bon finalement, je suis allé voir Jean Dujardin alias Hubert Bonisseur de La Bath dans ce film après quelques avis contradictoires sur le sujet, il semblait être sympathique... Alors voilà eh bien le résultat de ce pastiche est quand même assez décevant même si Dujardin est amusant car complètement autonome en macho ignare et inculte, néocoloniste, franchouillard et un peu bête pour tout dire... Bon je dois dire que j'ai bien ris malgré l'heure très avancée à laquelle j'ai eu l'occasion de le voir ...
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Jean Dujardin tenant le premier rôle, c'était plutôt un argument pour m'empêcher d'aller voir ce film que l'inverse. Après Brice de Nice, que je n'ai pas vu mais quand même détesté (je sais, c'est pas bien), je ne savais pas bien à quoi attendre. Après avoir entendu beaucoup de bonnes critiques, nous nous sommes dit que ça avait l'air pas mal. Je n'ai pas été déçu. OSS 117 n'est pas une parodie comme les autres. Le jeu des acteurs n'est pas aussi exagéré que d'habitude ...
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OSS 117, c’est le James Bond français mais la classe british en moins. Du mot de passe (« La blanquette est bonne ») à la photo de René Coty (« Un très grand président qui marquera la France ! »), le côté franchouillard est tourné en dérision. On s’amuse de voir cet espion nul en géographie commettre des gaffes monstrueuses (pas diplomate pour un sou). Il y a quelques passages franchement drôles ...
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Sans le pass cinéma, je n'y serais jamais allée... le spectre de la perruque de Brice de Nice, l'excès de promo et l'omniprésence de Jean Dujardin sur les plateaux télé, les émissions spéciales qui lui sont consacrées, avant la sortie du film, on frisait l'indigestion… J'en suis sortie étonnée, non seulement, le personnage de l'agent 0SS117 sied parfaitement à l'expansif Jean Dujardin mais la reconstitution de l'ambiance des films des années 50 et du début des années 60 est parfaitement rendue. Berlin, 1945, dans un extrait filmé en noir et blanc précédant le générique, un avion de la Luftwaffe est détourné, dans l'ombre du poste de pilotage, on croit distinguer le visage d'OSS117, masqué par la visière de sa casquette. Un plan très amusant de cette silhouette enveloppée de pénombre où la caméra s'attarde avant de révéler l'individu, comme on en voyait dans les films de l'époque...
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OSS117 est la huitième adaptation du personnage phare des romans de Jean Bruce, le fameux OSS117, espion français à l’image d’un certain 007. Cette adaptation est réalisée par Hazanavicius, qui a démarré aux cotés des Nuls à Canal + et dont c’est le grand baptême du feu. Pour ce baptême, il enrôle le fameux gars de “un gars, une fille”, l’inventeur de Brice de Nice .. Jean Dujardin ...
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Si OSS 117 connaît aujourd'hui un formidable regain de popularité grâce à l'association de choc entre Michel Hazanavicius et Jean Dujardin, le personnage est loin d'être une invention récente. En effet, c'est en 1949 que le romancier Jean Bruce publie la première aventure de célèbre espion français. De fait, et contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce cher Hubert Bonisseur de la Bath n'a donc pas été imaginé comme une réponse hexagonale à l'illustre agent britannique au service secret de Sa Majesté puisque ce n'est qu'en 1952 que James Bond naîtra dans une propriété jamaïcaine appartenant à un certain Ian Fleming ...
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