Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Cinéfeed, Laterna Magica, La plume et l'image, Le génépi et l'argousier, Les lectures de Lili, Lectures et autres, Une toile pour deux, Antigone, Cafebook
 |
| Valse avec Bachir, D'Ari Folman Animation Disponible en DVD |
  |
| Acheter Valse avec Bachir sur Amazon |
|
 |
Le cinéma n’a pas encore dit son dernier mot. Il y a encore des films qui montrent, disent d’une manière inédite. Il y a des films qui bouleversent et qui, plus qu’une réalisation, qu’une simple œuvre artistique, sont des véritables expériences. Valse avec Bachir c’est avant tout l’expérience psychanalytique de son réalisateur, Ari Folman, mais c’est aussi celle du spectateur. Est-ce un film d’animation ? Pas vraiment. Un film sur la guerre ? Un peu, beaucoup. Un film sur la culpabilité ? Certainement ...
Lire la suite de la chronique de Cinéfeed.
|
Valse avec Bachir est donc désormais disponible dans les bacs, dans une très belle version collector digipack et dans laquelle on retrouve un joli petit cadeau : 10 planches de la bande-dessinée Casterman. Le film bénéficie lui d’une édition à la hauteur de sa qualité. L’image est parfaite, les couleurs magnifiquement restituées. Le travail technique, d’étallonage et sur le son 5.1 Dolby Digital, est en tous points remarquable ...
Lire la suite de la chronique de Laterna Magica.
|
Troisième film du cinéaste israélien Ari Folman, Valse avec Bachir est un mélange réussi entre dessin animé, enquête documentaire et chronique de guerre, qui mêle de façon détonnante la beauté des images à l'horreur du sujet. Ce récit inaugural par son originalité suscite d'emblée la prise de conscience de cette période, où des phalangistes chrétiens alliés à des Israéliens massacrèrent des centaines de civils pour venger l'assassinat de Bachir Gemayel, leur chef charismatique ...
|
... je ne vous parlerai ici que des bonus et de l'intérêt du DVD. En quoi consistent les bonus ? Quelques planches (format boîtier de DVD) de la BD éponyme qui est sortie chez Casterman sur un beau papier glacé, deux interviews d'Ari Folman (à Cannes et à Sderot, près de la bande de Gaza, à portée de roquettes), la bande annonce, une analyse d'un universitaire libanais, Joseph Bahout, un extrait du JT d'A2 sur les massacres de Sabra et Chatila (18 septembre 1982) et une scène coupée : la mort de Béchir ...
|
Ce film très original est le récit autobiographique d'une partie de la vie de Ari Folman, un metteur en scène israélien. Ari subit des cauchemars récurrents, dans lesquels il se retrouve pourchassé par une meute de 26 chiens, soit le nombre exact qu'il a dû tuer au cours de la guerre du Liban. Il en parle à un ami, et le lendemain, pour la première fois depuis la fin de la guerre, il retrouve un souvenir de cette sombre période de sa vie ...
|
ce film que j'avais envie de voir depuis très longtemps... J'ai lu les billets qui ont fleuri sur la blogobulle, et j'avais vraiment envie de le regarder... C'est chose faite. Ce film d'animation documentaire est à voir, sans aucun doute. Le choix du dessin animé pour porter cette narration est audacieux. Ce film est talentueux et déborde de sensibilité ...
|
Valse avec Bachir fait partie de dessins animés hors du commun. Son voisinage avec Persépolis est d’une profonde évidence, tant il se destine au même public. Point d’animation en 3D, mais une vraie claque visuelle (et sonore) pour évoquer un thème sérieux et autobiographique, ici la guerre du Liban et le massacre de Sabra et Chatila ...
|
Je redoutais un peu de voir ce film... Je suis heureuse d'avoir attendu que mes lectures pour ELLE (parfois assez violentes dans leurs thèmes) se soient légèrement dissipées pour l'apprécier réellement à sa juste valeur. Dans Valse avec Bachir il est en effet question de guerre, mais surtout de mémoire et de traumatisme ...
Lire la suite de la chronique d'Antigone.
|
Réaliser un film d’animation documentaire sur la guerre du Liban, voilà un pari pour le moins audacieux. Le parti-pris de l’animation a pourtant été décidé très en amont du projet par Folman lui-même, ce dernier souhaitant s’affranchir des contraintes liées à la réalisation d’un film traditionnel. Et éviter toutes surenchères ...
Lire la suite de la chronique de Cafebook.
