Source : EightDayzaWeek
Le dernier quart de Love Bug a – forcément ? - des allures de Wacky Races, mais sans jamais en atteindre la folie. C'est d'ailleurs ce principal déficit qui nuit à une production qui aurait mérité davantage de madness, de burlesque tous azimuts. Même le goût n'est pas assez mauvais et le sage l'emporte trop sur ce qui aurait pu être un bordel mécanique [..]