Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Critiques Clunysiennes, Les Irréductibles, Neil, Asiaphilie
Time, De Kim Ki-duk Avec S. Hyeon-a, J-W Ha, J-Y Park Sortie en salle le 15 août 2007 |
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Le générique de début s'inscrit sur fond noir alors que résonne un tic-tac ; puis en très gros plan, la préparation d'une opération esthétique : le chirurgien trace des pointillés noirs sur la peau, un goutte-à-goutte distille le produit anésthésiant, puis des images crues des chairs charcutées. Une femme portant un masque pousse ensuite la porte de la clinique dont les battants affichent les images de deux demi-visages différents, elle sort dans la rue, hagarde, elle est percutée par une passante ...
Comme toujours c'est d'abord l'esthétique qui me marque, du café aux chambres à coucher en passant par ce lieu sublime et surréaliste, des multiples sculptures modernes sur cette plage, toute dédiée à l'amour. Enfin l'idée presque machiavélique, dictée par la jalousie, renaitre sous d'autre traits avec l'espoir de séduire de nouveau l'être aimé. Puis celui-ci , rongé par l'absence et une vague culpabilité s'étant juré de rester fidèle à la disparue..oui c'est presque Kafkaïen ...
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Croyez-le ou non, le nouveau film de Kim Ki-Duk est bavard ; et ça surprend sacrément. Le prolifique et talentueux réalisateur du poétique Locataires et du sublime Printemps, été, automne, hiver… et printemps coupe avec son habituel style taciturne et contemplatif avec Time. Heureusement, le réalisateur sud-coréen ne néglige pas ses thèmes de prédilections, l’amour en tête ...
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Treizième film de Kim Ki Duk, Time (Shi Gan) décrit les dommages du temps sur l’amour. Œuvre esthétique, toujours très symboliste, elle n’en est pas moins assez « expressive » comparée aux dernières du réalisateur (L’arc, Locataires). Après le « délire » un peu mystique et hermétique de l’Arc, Kim Ki Duk revient sur un terrain plus abordable avec des personnages plus humains, tirés de nos sociétés occidentales contemporaines. On n’est plus au milieu de l’océan sur une barque, mais en pleine ville, et le jeune couple est ce qu’il y a de plus moderne. Tout comme leurs problèmes. Le constant besoin de nouveauté pour ne citer que lui ...
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Commentaires
Ach !
Alala que j'aimerais pouvoir le voir celui ci ! Un bon Kim Ki Duk, ça manque... Breath arrive, celui ci va être diffusé dans peut être 12 salles en France, dont la moitié à Paris. Et moi et mon cinéma de village, on va rester sur le quai... Enfin qui sait... un coup de chance, un coup de voiture vers une grande ville, et hop, la salle, le noir, l'écran, puis la critique sur asiaphilie...
Un jour, peut être.... en retard, comme d'hab !
Carcharoth - 20.08.07 à 00:58 - # -
← Enfin !
Et bien voila, c'est vu ! Très bon film, Kim Ki Duk nous revient donc apparement avec deux bon films (Breath semble lui aussi prometteur...) que l'on va s'empresser de commenter...
Carcharoth - 03.09.07 à 23:59 - # -