Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Sirensorrento, Through my eyes, Critiques Clunysiennes, Peyomedia, Sur l'octuple sentier, Cineniavlys
The queen, De Stephen Frears Avec H. Mirren, J. Cromwell, M. Sheen Sortie en salle le 18 octobre 2006 Sortie en DVD le 18 avril 2007 |
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Je n’avais rien lu ni vu (sauf l’affiche) sur le film, je ne m’attendais pas à ce qu’il soit une rétrospective de la vie de la Reine d’Angleterre. En fait, le film se concentre surtout sur la fameuse semaine qui suivit la mort de Diana, et sur la relation pleine de respect qu’entretient Tony Blair avec la Reine. C’est donc un film historique, mais seulement 9 ans nous séparent des évènements ici chroniquées, ce qui appelle des souvenirs. Tout est saisissant de réalisme : les décors (Balmoral, Buckingham Palace), les acteurs très ressemblants ...
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J’ai passé un très agréable moment pendant ce film, ou j’ai ressenti des émotions diverses et variées, le réalisateur tirant parfois vers la sensiblerie lorsque l’on voit les images d’archives des masses devant Buckingham pleurant “la princesse du peuple”, avec la musique qui va bien, le poil qui se hérisse et les yeux qui s’embuent ; et puis parfois au contraire, des scènes franchements drôles, un cynisme comme j’aime, et qui accroche au visage un sourire qui met du temps à partir. The Queen, c’est l’histoire d’une Reine face à elle-même, la monarchie face au peuple, à l’imprévu protocolaire, une institution rigide et inchangée ...
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Le film commence et se termine par la même scène : la visite de Tony Blair à Buckingham. La première met aux prises un chef de gouvernement intimidé et gauche et une souveraine à peine intriguée par son onzième premier ministre, et s'amusant de voir le modernisateur du pays englué dans le protocole, ne s'offusquant même pas de l'effronterie de Cherie Blair, dont les sympathies républicaines ne sont un secret pour personne. La seconde visite quelques mois plus tard s'achève par une promenade dans les jardins du château à laquelle la reine a invité le leader travailliste ...
Le 31 Août 1997, Lady Diana meurt des suites d'un accident de voiture survenu sous le point de l'Alma à Paris. Si la nouvelle ébranle le monde et plus particulièrement les britanniques, l'indifférence de la reine Elizabeth II agace et crée un malaise sans précédent entre elle et ses sujets. De l'annonce du décès de Lady Di à ses funérailles publiques le 6 Septembre 1997, Stephen Frears choisit donc de nous plonger au plus près de la reine Elizabeth II. Confrontée à un peuple qui l'accuse de tout les maux, elle doit aussi composer avec un nouveau premier ministre très populaire : Tony Blair. Le monde change autour d'elle mais elle ne voit rien ou plutôt, ne veut rien voir ...
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"Le vrai Pouvoir ne se prend pas, il se reçoit", telle pourrait être la morale de l’histoire nous conte Stephen Frears dans son dernier long métrage, plus proche d’un docu-fiction que d’un film traditionnel, mais excellemment réalisé quand même. Il y relate la confrontation entre un jeune politicien aux dents longues, fraîchement élu premier ministre, et une vieille reine mise sur le trône malgré elle, et dernière représentante d’une longue lignée de monarques riches et puissants. D’un côté, le travail, l’affairisme, le clientélisme, la nécessité de plaire pour exister, la remise en cause permanente ...
Pas de grande surprise à la vision du dernier film de Stephen Frears (qui sera par ailleurs président du jury du prochain festival de Cannes) : racontant les hauts et les bas de la vie de la popularité de la Reine d'Angleterre après la mort de la princesse Diana, The Queen ne fait pas vraiment preuve d'originalité. Ce qui fait ici la différence, c'est le fait que les personnages ne sont pas toujours traités sur un plan très documentaire : citons par exemple le ridicule sourire "dents blanches" du premier ministre, ou les courbettes ratées de sa femme ...
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