Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Cahier Critique, Culturopoing
Rules, The Whitest Boy Alive, Parution en 2009 |
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On connaît l’obsession de The Whitest Boy Alive pour la géométrie des formes et la mathématique du mouvement de par leurs clips, et il est fulgurant de constater à quel point leur musique y obéit. Constamment sous l’emprise et l’ampleur d’une perfection symétrique, les compositions d’Erlend Øye (moitié de Kings of convenience) et de son groupe alternent sets et juxtapositions de guitares, de basse et de clavier avec une élégance ludique et une accalmie langoureuse. Et si la rigueur de Rules n’a d’égale que le charme de sa maîtrise, c’est avant tout parce que The Whitest Boy Alive se plaît à entrelacer les genres et hybrider ses influences ...
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L’heure du second album pour le projet groovy d’Erlend Øye des Kings of Convenience, l’heure surtout de la confirmation on le souhaite après un premier essai qui, sur la foi du single « Burning », avait fait de ce collectif norvégio-allemand l’équivalent en danse molle du « Young Folks » des non moins excellents Peter, Bjorn & John (les spécialistes de la bonne pop molle) : un single attachant et mettant en lumière une musique qui allie simplicité et méthodisme, une symbolique possible du « cool » peut-être ...
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