Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Critiques Clunysiennes, CinemaniaC, Les Irréductibles, Laterna Magica, Through my eyes, Chez Lo
Roman de gare, De Claude Lelouch Avec D. Pinon, F. Ardant, A. Dana Sortie en salle le 27 juin 2007 Sortie en DVD le 23 janvier 2008 |
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Spécialiste des coups médiatiques (il avait offert leurs places à 45 000 spectateurs venus voir "Les Parisiens", perdant ainsi un million d'euros), Claude Lelouch a tourné "Roman de Gare" sous le pseudonyme de son prof de tennis, invoquant Emile Ajar et prétextant que s'il avait signé ce film, la critique l'aurait assassiné avant même de l'avoir vu. Curieuse argumentation, puisqu'il a révélé la supercherie bien avant sa présentation à Cannes ...
Aller voir un Lelouch au cinéma à Deauville sous la pluie, c’est très chabadabada… Je me suis donc fait ce petit plaisir lors d’un mini séjour pluvieux en Normandie… A Paris, y serais-je allée? Je ne crois pas, lassée de tant de films décevants de Lelouch… "Un Homme et une femme", "La Bonne année", "L’Aventure, c’est l’aventure", "Attention bandits", c’est si loin… Je crois que les films de Lelouch ont commencé à devenir lourds quand il a entamé le cycle des épouses qu’on voyait dans 4/5 films d’affilée, les films avec Evelyne Bouix, puis ceux avec Marie-Sophie L, enfin, avec Alessandra Martinez. Dans "Roman de gare", il y a toujours la famille, les copains : cette fois-ci, c’est une des filles du réalisateur (Shaya Lelouch) dans un second rôle, celui de la fille du personnage principal ...
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Roman de gare, ainsi qualifiait -on le polar naguère tenu pour un genre mineur. Revisité par Claude Lelouch, celui-ci nous attrape par le bras pour ne plus nous lâcher. Dés les premières images, de couleur sombre comme appartenant au passé, nous sommes au quai des orfèvres . Fanny Ardant, silhouette telle une vamp des années cinquante subit un interrogatoire, occasion d'un retour en arriere et aussi à la couleur. Dans Paris une voiture file à toute vitesse, négligeant les régles apparentes de circulation. A la radio Gilbert Bécaud chante, un flash d'info annonce l'évasion d'un tueur d'enfant ...
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Il y a longtemps que l’on avait finit par ne plus rien attendre de Claude Lelouch. Enthousiaste comme à la première heure, le cinéaste ne s’est pas attardé sur l’échec monumental des « Parisiens », ni même sur le fiasco intégral du « Genre humain ». Son retour avec « Roman de Gare » est une double surprise. Double car autant inattendue que, finalement, agréable. On a retrouvé le Lelouch que l’on avait aimé et, ça fait plaisir. Hughette (Audrey Dana) est abandonnée par son fiancé sur une aire d’autoroute. Louis (Dominique Pinon), qui a assisté à la scène, se propose pour l’aider ...
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J’avais oublié comme les films de Lelouch sont particuliers ! Ca doit surement expliquer la moyenne d’âge assez élevée dans la salle cet après-midi là (je devais être le plus jeune, honnêtement), avoisinant facilement les 60 ans ! Bref, Lelouch c’est torturé, sinueux, complexe, cru, bizarre, parfois fatiguant, rarement bluffant, à risque très élevé de convulsion, surtout quand c’est le troisième film de la journée et que juste avant vous avez bavé devant Die Hard 4 ...
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Un film à suspense où le réalisateur s'amuse avec le spectateur, en l'impliquant directement (certaines scènes sont filmées donnant l'illusion d'être à la place d'un conducteur de voiture), en l'inquiétant, le trompant tout en ayant l'air de le mettre sur la piste. Et ça c'est un vrai bonheur ...