Source : Playlist Society
En 1970, Orson Welles sent qu’une porte s’est entrouverte à Hollywood. Son rêve, qui lui était interdit quand il travaillait pour les studios et voyait ses réalisations mutilées l’une après l’autre (La splendeur des Amberson, La dame de Shanghai qui est le sujet de l’autre texte de notre diptyque consacré au cinéaste, La soif du mal), est en effet devenu réalité : depuis la fin des années soixante, des cinéastes ont les moyens de faire à Hollywood les films qu’ils veulent, en toute liberté et sans censure [..]