Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Les irréductibles, Critiques clunysiennes, Dr Orlof, Omega Blue, Matière Focale, Uniko, La plume et l'image, Une toile pour deux, Rob Gordon, Itinéraire(s), Blog Culturel, Systool, Asiaphilie, In the mood for cinema, Through my eyes, Devotionall
La caméra de Wong Kar Wai exploite et magnifie les couleurs. Celles de ce bar à New-York et du métro aérien qui le surplombe. Extérieur et intérieur nuits, musique jazzy pour assaisonner le tout. La rencontre Elizabeth, Jeremy, autour d'un dessert, en discutant de clefs, celles que l'on laisse, que l'on oublie. Autant de portes que l'on referme, pour ne plus revenir, ou pour en ouvrir d'autres ...
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Déjà à Cannes, la critique avait boudé "My Blueberry Nights", le qualifiant de film mineur, voire de "carte postale du touriste Wong Kar-Waï en vacances en Amérique", quand ils ne déclaraient pas que le réalisateur hong-kongais avait " perdu tous ses pouvoirs magiques en changeant de langue et de continent". Diantre. Ces estimables critiques n'ont pas dû voir le même film que moi ...
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Wong Kar-Waï aurait-il perdu son âme en partant aux Etats-Unis pour y tourner son dernier film ? C’est ce que semble suggérer une bonne partie de la critique qui a fait la fine bouche devant My blueberry nights et qui s’accorde à trouver ce film « mineur ». Je me souviens que lorsque est sorti 2046, j’ai entendu le même type de réserves (répétitions des mêmes thèmes, redites…) alors que l’évidence crève les yeux aujourd’hui (inutile d’attendre 20 ans !) : 2046 est un somptueux chef-d’œuvre ...
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Un Wong Kar-Wai ça ne se manque pas. Ou alors ça se manque, et ça se redécouvre plusieurs années plus tard en DVD (le coffret La révolution Wong Kar-Wai m'attend sagement depuis Noël dernier). Mais dans l'idéal, ça ne se manque pas et ça se voit en salle, tant qu'à faire, parce que c'est toujours plus agréable et que ça égaye les jours de pluie (des fois qu'il pleuve, bien sûr, parce que sinon, c'est plus embêtant). Bref, un Wong Kar-Wai ça enthousiasme, c'est toujours ça de gagné, et c'est d'autant plus vrai quand le titre est aussi charmant ...
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Wong Kar-Wai. Mouais. Un cas intéressant. Ici, le bonhomme change son fusil d'épaule, ou plutôt change de calibre et s'en va aux USA tourner ce film, avec une équipe majoritairement anglo-saxonne. Mr Mort me disait au téléphone ce week-end, je cite, "c'est quand même plus franc qu'Almodovar qui convoque Hollywood en nous faisant croire qu'il est resté en Espagne", allusion au script-rewriting dont abuse le vieux Monsieur depuis quelques années en convoquant un scénariste hollywoodien pour structurer ses premiers jets de scénario ...
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Rien à dire, Wong Kar-Wai sait y faire au niveau des images. Il l'avait démontré dans In the mood for love, j'ai beaucoup entendu parler de la photo de 2048. Sur ce nouvel opus, il confirme. Des mouvements de caméra étudiés au centimètre, des positions toujours étranges particulièrement dans les scènes du début, des couleurs et des lumières qui donnent une ambiance très particuliere. C'est beau, y a rien à dire!! ...
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Le Festival de Cannes 2007 s'était ouvert avec ce film de Wong Kar-Wai qui avait mis la critique officielle en ébullition. Ce long métrage déçevait la plupart, séduisait les autres, sans convaincre tout à fait et pourtant... Voilà un film qui vient normalement prendre rang parmi ceux qui forgent l'oeuvre d'un réalisateur hors du commun, non un artisan de la pellicule, aussi doué soit-il, mais l'un de ces rares artistes que compte le 7e Art, de ces metteurs en scène qui ont su trouver un ton, créer un univers à nul autre pareil. C'était le cas de Fellini, Visconti, Bresson, Bergman, Welles, Lubitsch, c'est aujourd'hui le cas de Wong Kar-Wai ...
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Premier film de Norah Jones, la douce chanteuse jazzy que j'ai eu la chance de voir en concert cet été, My blueberry nights nous fait découvrir une jeune femme à travers trois rencontres dans trois lieux. La première rencontre est celle d'un barman à New York, celui par qui elle apprend la tromperie de son ami. Puis elle partira vers l'ouest où elle croisera David Strathairn et Rachel Weiss à Memphis. Enfin elle rencontrera Natalie Portman à Vegas. Ce découpage donne un peu l'impression de suivre trois courts métrages avec un même personnage principal ...
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My Blueberry nights n'est pas une déception, mais une confirmation. Celle de l'absence de talent de Wong Kar-Wai, réalisateur éminemment surcoté. Les apparats du cinéma asiatique parvenaient à donner le change chez certains sinophiles ; mais voilà qu'en débarquant aux États-Unis, le réalisateur a dévoilé son vrai visage. Remplaçant le sacro-saint bol de riz par une tarte à la myrtille et sa mise en scène apprêtée par une réalisation plus ricaine, avec force ralentis et images désaturées, il livre un mélo d'une infinie platitude, et ce en dépit d'un casting séduisant ...
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Wong Kar-Wai traverse le Pacifique pour réaliser son premier film hollywoodien avec ses codes et ses stars. Mais il garde sa patte unique et délivre une belle peinture imaginaire et voluptueuse. Une nappe sonore envoutante. Une musique évanescente, fragile, aérienne, impalpable. C’est ce qu’on peut dire des albums de Norah Jones ...
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Quand on va voir un film de Wong Kar-Wai, on s'attend à ce que cela dépasse le sens commun, que cela se surpasse, qu'il y ait ce je ne sais quoi d'irréel et de beau, ce vague à l'âme auquel il nous a habitué avecHappy together, In the mood for love ou encore 2046. Alors lorsque l'on va voir My Blueberry Nights, on est dans cette attente qui je vous rassure ne sera pas comblé à la manière habituelle de Wong Kar-Wai. La musique de Cat Power est belle et sa brève apparition belle également..., je le savais mais je confirme. Et puis Norah Jones, elle est également belle et se débrouille franchement pas mal dans cette errance romantique loin de New York ...
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Pressenti comme le lauréat du dernier festival de Cannes, Wong Kar-Wai était finalement reparti les mains vides, mais on avait néanmoins salué la beauté visuelle de My Blueberry Nights, son premier film avec des acteurs occidentaux. Jugez plutôt : Jude Law (toujours aussi beau), Natalie Portman (semblant toujours aussi jeune), David Strathairn (au jeu toujours aussi juste), Rachel Weisz (toujours l'une des plus belles actrices qui soit) et Norah Jones, la chanteuse de jazz et fille de Ravi Shankhar ...
Lire la suite de la chronique de Systool.
Enfin sur Asiaphilie l’article concernant le dernier Wong Kar-wai ! Foule nombreuse approche ! Spectateur ravi, internaute de passage, romantique transit, laisse tes yeux parcourir ces quelques lignes, et nous saurons les récompenser par des images de certaines des plus belles femmes du cinéma holywoodien (voire de l’univers, n’en déplaise aux ravissantes vénusiennes qu’Aphrodite a doté de sa beauté) filmées par le cinéaste le plus « esthétique » d’Asie. Esthétique, voila un mot qui reviendra souvent dans cette critique, avec tout le champ lexical correspondant. D’ailleurs cet article sera presque exclusivement laudatif, comme souvent ...
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Pour son premier film en langue anglaise, Wong Kar Waï a réalisé un road movie mélancolique, un voyage initiatique qui nous emmène de New York au Nevada, et sur la célèbre route 66. Les kilomètres et le temps qui séparent les deux protagonistes les rapprochent, d’eux-mêmes, puis l’un de l’autre, aussi par les mots qu’ils s’envoient comme des bouteilles à la mer. Comme ses précédents films, « My blueberry nights » est un poème envoûtant, une peinture captivante dans laquelle on se retrouve immergés, fascinés, hypnotisés, transportés dans un univers sombre et lumineux ...
Lire la suite de la chronique d'In the mood for cinema.
J’aurai finalement cédé à toutes les chaleureuses recommandations de mes amis, de la presse et des blogs, et j’ai trouvé le temps d’aller voir My Blueberry Nights, premier film américain de Wong Kar-Wai, qui faisait l’ouverture du dernier Festival de Cannes. Ce réalisateur chinois au style sibyllin ne fait fondamentalement pas parti de mes préférences cinématographiques. Qu’a cela ne tienne, mon réseau social semblant unanime ...
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Avec un peu de retard, certes, je suis allé voir le dernier film de WONG KAR-WAI, le cinéaste qu’il est de bon ton d’apprécier si on se dit amant du cinéma. MY BLUEBERRY NIGHTS est un film à part dans son œuvre, c’est en effet la première fois qu’il fait appel à des acteurs hollywoodiens et positionne son film aux Etats-Unis. Pour cette nouvelle histoire tournant autour du couple et de ses possibles, il a fait appel pour le rôle de protagoniste féminin à la chanteuse sirupeuse Norah Jones, qui joue comme elle chante ; c'est-à-dire qu’elle fait très correctement son travail, sans jamais atteindre cette touche de génie que lui reconnaissent à tort les grands médias. Il y a des centaines de Norah Jones aux States, mais aucune ne bénéficie d’un tel buzz médiatique ...
Lire la suite de la chronique de Devotionall.