Actuellement, il y a oeuvres. Pad de navigation Catégories
  
Ce site compile pour vous les avis de blogueurs passionnés.

  
Admin
  Commentaires  

Partenaires

 
marche au super de ViaBloga.

Design
 : Manta Ray

Sur une idée et avec l'énergie de Labosonic 
avec les talents de ses contributeurs.

 

11
07
2007

Loin d'elle - Sarah Polley

4 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
, , ,

 

Loin d'elle,

De

Avec J. Christie, G. Pinsent, O. Dukakis
Sortie en salle le 2 Mai 2007
Acheter Loin d'elle sur Amazon
 

Qu’il est ingrat de confesser ce voyage au bout de l’ennui s’agissant d’une belle histoire pleine de bons sentiments… Un homme seul en voiture s’en va sonner chez une dame qu’il ne connaît pas, c’est l’histoire au présent. Cet homme, Grant Anderson, se souvient des derniers temps à la maison chez eux quand sa femme Fiona a commencé à perdre la mémoire. C’est elle qui a voulu être enfermée dans une institution spécialisée dans la maladie d’Alzheimer. Il l’a supplié de ne pas s’en aller, puis, il s’est persuadé que c’était provisoire. Lors de leur première visite ensemble dans la clinique pour prendre date de l’arrivée de Fiona dans les lieux, on leur a fait visiter l’établissement ...
 

Le Canada anglophone sous la neige semble propice aux chroniques en demi-teinte sur des sujets délicats : après "Snow Cake" qui abordait l'autisme adulte, voici donc "Loin d'Elle" qui parle de la maladie d'Alzheimer et de ses conséquences sur la vie des proches. En effet, Sarah Polley a choisi le point de vue du mari : quand il ne peut pas rendre visite à Fiona, le spectateur n'a plus de nouvelles d'elle non plus ...
 

Quelle superbe histoire d'amour ! Très sobrement, avec beaucoup de finesse et de tendresse, Sarah Polley, nous décrit la lente évolution d'un couple confronté à la maladie d'Alzheimer. Fiona, une Julie Christie extraordinaire, prend conscience de sa maladie et rejoint volontairement un centre spécialisé pour éviter à son mari, Grant, l'horreur d'une évolution inéluctable ...
 

Un sujet sensible auquel beaucoup d'entre nous sont confrontés plus ou moins indirectement, mais qui est traité ici avec beaucoup de pudeur. Cette pudeur s'exprime par la pénurie de mots utilisés, les émotions passant davantage par les regards, par les visages. Et quels visages ! Julie Christie est une malade éblouissante, pour qui la vieillesse n'a pas de prise ...

Note : 3.9/5 (7 notes)


Imprimer   0 commentaire Commenter  
>>

Critico-blog cultive les différences de la blogosphère depuis 2006