Source : EightDayzaWeek
S'il est (honteusement ?) indéniable qu'au titre des grands singes au cinoche, nous avons toujours été plus clients de Cannonball 2 (et Doux, Dur et Dingue) que de Max Mon Amour*, Link aurait pu être à nos yeux un moyen terme et, au vu de son anthropomorphisme poussé à l’extrême et l’ambiguïté qui s'en suit fatalement, une sorte de trait d'union bienvenu entre de gratuits tricks simiesques et un questionnement plus viscéral de notre propre animalité [..]