Source : EightDayzaWeek
Après Costa-Gavras et avant Polanski, variation* sur la terreur sud-américaine, nimbée de sensualité onirique, de fétichisme borderline (l'hilarant film de propagande nazie narré par William Hurt !) et de tortures mentales, mais ne disant finalement rien - ou peu - des thèmes et sujets qu'elle aborde, lui préférant l'humain (à tout le moins les personnages) et sa psyché pleine de contradictions et d'amour(s) [..]