Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Boustoune, La plume et l'image, Rob Gordon, Cahier Critique
Last Chance for Love, De Joel Hopkins Avec D. Hoffman, E. Thompson, K. Baker Sortie en salle le 4 Mars 2009 |
|
. |
Il y a des jours comme ça, où rien ne va… Prenez le cas d’Harvey Shine, un new-yorkais d’une cinquantaine d’années, divorcé et un peu trop seul. Il est en difficulté sur le plan professionnel, et e Les musiques qu’il compose pour des spots publicitaires ne convainquent plus son patron, qui lui préfère le travail de jeunes loups ambitieux… Alors que, sur le sol américain, une importante réunion pourrait sceller son sort, il doit traverser l’Atlantique pour assister au mariage de sa fille, à Londres. Arrivé là-bas, il découvre que son ex-femme et son nouveau mari l’ont logé seul dans un hôtel miteux, loin du reste de la famille et des invités de prestige ...
Lire la suite de la chronique de Boustoune.
Quel qu'ait été le film, j'y serais allée pour assister au face à face de deux de mes acteurs préférés, d'autant que je me doutais bien que ni l'un, ni l'autre, n'auraient donné leur accord pour un film médiocre et un scénario bidon. Ils ont mené leurs carrières respectives avec suffisamment d'intelligence et de discernement pour ne pas commettre, à leur âge, et avec leur expérience, une faute de goût. J'étais donc assurée que ma prise de risque était quasi nulle et que le film, que j'allais voir en cette fin d'après-midi presque printanière, serait, sans aucun doute, un très plaisant divertissement. Et il l'est ...
Last chance for love n'est pas une comédie romantique : très vite, il devient évident que l'objectif de Joel Hopkins est moins de faire rire que d'émouvoir à l'aide de ces deux personnages pas tout à fait en bout de course mais ayant épuisé leurs munitions. En particulier Harvey, incarné par un Dustin Hoffman qu'on n'a jamais vu aussi triste : son personnage a des problèmes de job, d'avion et de famille. Sa fille, qui va se marier, a choisi d'être menée à l'autel par le second mari de sa mère ...
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
Comme il le confiait à Diane_Selwyn, Dustin Hoffman a toujours considéré le drame et la comédie comme une même chose ; une même entité dont le malheur pourrait prêter à sourire, et le bonheur à émouvoir. Le film de Joel Hopkins s’inscrit dans cette démarche, dans cette conception de la vie et de l’actorat, rejoignant dans un sens le (dis)cours magistral de Hoffman aux derniers Césars, où les émotions ne seraient pas intégralement interprétées mais bel et bien vécues ...
Lire la suite de la chronique du Cahier Critique.