Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Rob Gordon, In the mood for cannes, Cinemaniac, Boustoune, Sur la route du cinéma
Là-haut, De Pete Docter & Bob Peterson, Animation Cannes 2009 : Sortie le 29 Juillet 2009 |
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À bien y réfléchir, les dernières productions Pixar racontent toutes plus ou moins la même histoire : celle d'un être seul (un cuistot, un robot, un vieux pépé), sans perspective d'avenir, et dont l'existence toute entière va connaître un nouvel envol suite à l'irruption inattendue d'un personnage au moins aussi singulier (un rat, une robote, un scout un peu bouboule). Seulement voilà : Pixar n'est pas qu'une grosse firme qui pond des films d'animation avec une précision de métronome. C'est aussi une équipe d'auteurs et de réalisateurs extrêmement compétents mais surtout pourvus de personnalités et d'inspirations différentes - des êtres humains, en somme ...
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Dans « Là-haut », un vieux monsieur bougon qui a toujours rêvé de partir à l’aventure, s’y résout, après le décès de sa femme. Il part en Amérique du Sud, avec sa maison qui vole, entraînée par des ballons multicolores, accompagné d’un jeune scout. Evidemment l’un et l’autre vont s’enrichir et grandir grâce à cette rencontre et à cette aventure jalonnée d’animaux truculents. Un film qui ressemblait finalement beaucoup à ce Festival. Un conte initiatique. Cannes ne l’est-il pas aussi ? ...
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Donc "Up" est un film qui ressemble à un cube en verre avec les sous-titres devant l'écran en avant du cube (avec lunettes 3D) ou avec les images et les sous-titres flous et/ou en double (sans lunettes 3D). Dans les deux cas, c'est un gadget qui n'augure en rien une future génération de films à visionner dans ces conditions précaires quasi-expérimentales. Le récit, sans pourtant égaler en rien "Wall-E", véritable conte écolo-philosophique, est pourtant touchant, démarrant par l'histoire d'amour d'un couple qui vieillit ensemble aussi longtemps qu'il s'aime, long prologue auquel on ne s'attend pas. Quand Ellie finit par mourir avant Carl, qui a toujours nourri une vocation d'explorateur, le veuf va passer à l'acte et réaliser ses rêves ...
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Le studio Pixar démontre qu'il a toujours une longueur d'avance sur ses concurrents en terme de textures et de fluidité d'animation. Une fois n'est pas coutume, tout est soigné jusque dans les moindres détails, des brins d'herbe aux pelages des animaux, des paysages extérieurs, sublimes, aux plus infimes éléments du décor. Le relief, loin de rechercher à tout prix l'effet choc et les objets qui sortent de l'écran, joue au contraire intelligemment sur la profondeur de l'image, et cherche à communiquer aux spectateurs une certaine sensation de vertige ...
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Vives, énergiques et bouillonnantes, on ne s’ennuie pas une seconde pendant les aventures de Carl et Russell. Les couleurs éclatantes, les décors fabuleux font pétiller les yeux. La première partie, quasi muette et plutôt réaliste, n’élude pas les petites misères et gros chagrins qui parcourent une vie d’homme ...
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