Source : EightDayzaWeek
Rigoureusement gaulé comme les opus précédents (ouverture sur un flash-back aussi édifiant que pédagogique sur les pratiques sacrificielles des Templiers qui nous occupent puis retour à un présent taiseux à l'égard des vertus touristiques du site où de jeunes urbaines vont immanquablement s'égarer avant que les tombeaux ne s'ouvrent), le quatrième et ultime opus de la "série" des "morts-vivants" d'Ossorio est sans doute (je ne suis pas en mesure de sereinement l'affirmer) celui par lequel j'entrais (sur un malentendu marketing), voilà quelques décennies, dans l'oeuvre du réalisateur espagnol (que je goûtais finalement davantage que Carlos Saura !) [..]