Source : Lieux communs
UN HOMME IDEALde Yann Gozlan Il y avait Pierre Niney, avec sa tête de chaton et ses grand yeux délicats, il y avait l'affiche, qui me faisait miroiter une bluette romantique, il y avait la séance de 16h (il était 15h55), il y avait Le printemps du cinéma, et ses séances à 3,50€, il y avait deux heures à tuer avant d'aller chez les S, et j'y suis donc entré, sans savoir du tout ce que j'allais voir [..]