Source : A la poursuite du vent
J'ai toujours aimé ce mont solitaireEt cette haie, qui de presque partoutDérobe au regard l'horizon lointain.Assis et pensif, c'est en moi que j'imagineDes espaces sans borne, un calme sans fondEt des silences surhumains ; il s'en faut de peuQue le coeur ne s'effraie [..]