Source : EightDayzaWeek
L'observateur farouche, pour peu qu'il ait l'esprit perequien de lister, hiérarchiser le matériau auquel il se frotte quotidiennement, a, depuis longue date, identifié que dans le cinéma d'horreur, le recours à l'animal (qu'on soit mal ou pas) répond majoritairement à un nombre restreint de modus dramatiques [..]