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27
04
2008

L'heure d'été - Olivier Assayas

7 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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L'heure d'été,

D'

Avec J. Binoche, C. Berling, J. Renier

Sortie en salle le 5 Mars 2008
L'heure d'été - Olivier Assayas
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L'heure d'été renvoit sans doute à ce moment charnière ou le passage se fait entre l'heure d'hiver et l'heure estivale, ou le contraire. Dans L'Heure d'été, il est question de vie et de mort. Mais surtout de vie. Le décès autour duquel s'articule tout le film n'est pas le prétexte à une énième réflexion sur la mort. Ce n'est pas ça qui intéresse Assayas, plus attaché à disséquer les relations entre les différents membres d'une famille très unie et à travers la difficile question de l'héritage. L'heure d'été ? Ou les chroniques de ces moments ou cette famille unie sur le plan sentimental mais disséminé géographiquement, se retrouve ...
 

Ne se fier ni à l'affiche, ni au titre, ni même au premier quart d'heure du film : L'heure d'été n'est pas une énième comédie douce-amère sur une famille décomposée se retrouvant dans une maison de campagne pour faire le point. Sous des apparences gravement trompeuses, le nouveau Assayas (son premier en France depuis Les destinées sentimentales) révèle un tempérament et une atmosphère unique. Étiré dans le temps, proposant des petits moments de vie moins anecdotiques qu'ils n'en ont l'air, effectuant des transitions par le biais de fondus au noir très sobres, le film est une réflexion sur l'art ...
 

Une certaine intendance du cinéma français ! Je sais, le jeu de mots a déjà été moult fois employé et il n’est pas impossible que je me répète en rentrant directement ainsi dans le dernier opus du très soutenu Olivier Assayas. Et pourtant, je n’ai même pas envie de m’énerver car l’heure d’été ne le mérite pas. Juste souligner que les critiques branchés qui soutiennent inconditionnellement Assayas comme un parangon de la modernité, louent en fait du bon cinéma de papa à l’ancienne, la bonne vieille « qualité française » remise au goût du jour ...
 

Chaque fois qu'aux alentours du 14 juillet, je descends de voiture en arrivant dans la maison familiale du Beaujolais, j'ai d'abord l'impression fugace de la voir plus petite que dans mon souvenir imprimé dans l'enfance. Dès les premières images de "L'Heure d'été", j'ai eu très fort l'impression que ce film racontait sinon l'histoire de cette maison, du moins comme un écho, comme une réminiscence, et ce sentiment a certainement joué dans mon adhésion immédiate au fim d'Olivier Assayas ...
 

Avec L'heure d'été, et après Clean et Boarding Gate, Olivier Assayas se penche sur le rôle de l'argent dans la société contemporaine, et pour ce film, s'attaque au thème de la transmission intergénérationnelle, de l'héritage des biens matériels et de ce que ces questions peuvent engendrer comme réflexions, discordes ou consensus au sein d'une famille actuelle. L'héritage du patrimoine n'a évidemment plus le même sens qu'autrefois ...
 

Depuis un certain temps, un débat fait rage sur un cinéma à la fois d’auteur et populaire, le cinéma du « milieu ». Abdellatif Kechiche, qui vient de recevoir son second César du meilleur réalisateur, apparaît essentiellement comme son plus grandiose représentant. L’Esquive comme La Graine et le Mulet sont des épures d’existences et d’instants. Des instants d’existence que magnifie Kechiche, imprégnant ses récits de sincérité, emplissant ses cadres de vie. Cinéma d’auteur, tant la façon du cinéaste d’être là, à chaque moment, est évidente ...
 

Non mais franchement, de qui est-ce que l'on se fout... je lisais dans Le Monde que le film d'Olivier Assayas était "Excellent" et voilà qu'il est franchement très chiant... il y a quand même un peu trop d'écart... Certes l'idée est intéressante, la perte d'un être cher, les retrouvailles entre frères et soeurs et les inévitables questions de partage mais au final cet aspect est assez bien gommé, ils n'en discutent finalement que très peu pour se concentrer pendant tout le film non pas sur les relations entre la mère et les enfants et les enfants entre eux mais sur leleg du mobilier de valeur de Paul Berthier et des deux Corot ...

Note : 1.8/5 (13 notes)


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