Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Cahier Critique, Planet Gong, Culturopoing, Playlist Society
Klang, The Rakes, Parution en 2009 |
|
Acheter Klang sur Amazon |
L’ennui avec The Rakes, c’est que leur tube est derrière eux. Le coup d’essai flamboyant que fût « Open Book » sur Capture/Release a paradoxalement handicapé la continuité du groupe. Après un virage new wave (de la balle) sur Ten new messages, le quator londonien use du frein à main et fait marche arrière (ou demi-tour, c’est selon) ...
Lire la suite de la chronique chez Cahier Critique.
Exilés à Berlin pour s'éloigner de la scène anglaise qu'ils trouvent stupide (on partage leur avis), The Rakes reviennent de la capitale allemande avec un nouvel album sous le bras. Un choix intéressant de la part de ce groupe londonien jusqu'au bout des ongles qui a su décrire mieux que quiconque le lifestyle des yuppies de la City ("22 Grand Job") ou le train-train du lad moyen ("Work Work Work (Pub Club Sleep)", "Repeat"). Tout aussi bon qu'il soit, il manquait un grain de folie au précédent Ten New Messages pour en faire un album mémorable ...
Lire la suite de la chronique chez Planet Gong.
Peut-on faire plus brittons que les Rakes, rejetons tardifs des Buzzcoks nés dans l'Angleterre de The Office ? Nos "seconds rateaux", qui évoluent depuis quelques années dans l'ombre de Franz Ferdinand, partageant avec les Ecossais arty une volonté manifeste de faire danser les filles sur des lignes de basse groovy, ont pourtant décidé, après Ten New Messages, de s'exiler à Berlin pour enregistrer Klang, leur troisième opus ...
Lire la suite de la chronique chez Culturopoing.
Bon on ne va pas s’étendre des heures sur le cas du nouvel album des Rakes. Dans les grandes lignes c’est de l’efficace (dans le mauvais sens du terme) et ce sans supplément d’âme. Comme les deux premiers albums, ça va vite, c’est pro, ça dégage pas grand-chose et ça s’oublie très vite ...
Lire la suite de la chronique chez Playlist Society.