Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Blog Culturel, Faut pas pousser Mémé dans les orties !, Critiques clunysiennes, Dr Orlof
Je crois que je l'aime, De Pierre Jolivet Avec V. Lindon, S. Bonnaire, F. Berléand Sortie en salle le 21 Février 2007 Sortie en DVD le 8 Octobre 2007 |
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Allons-y pour la nième comédie française de l’année qui n’aura pas la tâche facile de se pointer après cette avalanche de comédies tombée sur l’hexagone depuis un an. Trois cinéastes pour un film : l’un sur la scène, Pierre Jolivet, venu jeudi soir présenter son «Je crois que je l’aime» au cinéma des cinéastes à Paris, les deux autres dans la salle pour le supporter, Patrice Leconte et Bertrand Tavernier. Avec aussi pour la rituelle présentation semi-publique du film, les deux acteurs principaux : Sandrine Bonnaire, longue robe noire décolletée, et Vincent Lindon, pantalon en velours rouge vermillon ...
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Voilà une petite comédie à la française qui se laisse voir sans trop de souci, rien d'exceptionnel non plus... il ne faut pas exagérer. Vincent Lindon (alias Lucas) est le patron d'une boite d'électronique et est un peu parano, une ancienne histoire d'amour l'a complètement détruit quelques années auparavant mais c'est sans compter devant la rencontre fortuite avec une adepte de la céramique, Elsa (alias Sandrine Bonnaire ) qui est belle, intelligente et célibataire qui plus est ...
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Derrière ce titre un peu rose bonbon, pas seulement une jolie romance pour celles et ceux qui aiment les fables sucrées, c'est surtout une petite histoire d'amour subtile entre une artiste un peu frigide et un golden boy suspicieux. C'est justement cette suspicion qui est au centre de l'intrigue ...
Depuis "Fred", Pierre Jolivet a su créer un nouveau genre, celui de la comédie sociale. Autour de son acteur fétiche, Vincent Lindon, il a écrit des intrigues bien ficelées inscrites au coeur de la réalité de l'époque : chomage, malversations, difficulté de la justice ... Avec "Je crois que je l'aime", il aborde un nouveau genre, celui de la comédie romantique. Mais il n'en n'abandonne pas pour autant sa sensibilité sociale ...
Sans doute est-ce une illusion mais il m'est arrivé de penser que Jolivet possédait, au début de sa carrière (Strictement personnel, Force majeure), un ton (à défaut de style) un peu singulier qui lui permettrait peut-être de devenir une figure attachante du cinéma français. Or sans jeter le bébé avec l'eau du bain (Ma petite entreprise est un film agréable), le cinéaste a vite rejoint ce fameux « ventre mou » du cinéma français, cette cohorte d'artisans capables de bricoler des produits manufacturés susceptibles d'intéresser les chaînes de télévision ...
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