Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Critiques Clunysiennes, Neil, Through my eyes, Sirensorrento, Rob Gordon, Une toile pour deux, Les nouveaux cinéphiles, Culturopoing, Les irréductibles, Cinéfeed, Psykokwak, Ombres et lumières, In the mood for cinema, Le bal des vauriens, Blog Culturel, Goin' to the movies, Playlist Society, La plume et l'image, Bunee, Géraldine, Shin, Le blog du cinéphile amateur
Into the wild, De Sean Penn Avec E. Hirsch, M. Gay Harden, W. Hurt Sortie le 9 Janvier 2008 |
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Il y a eu cette semaine autant de critiques de "Into the wild" que de publications existantes, car, non seulement Sean Penn a en France une aura qu’il n’a pas dans son pays, où ses courageuses positions politiques l’ont un peu marginalisé, mais encore l’annonce simultanée qu’il sera président du 61° festival de Cannes en a encore rajouté dans le chœur des médias français. Un consensus, tout le monde ou presque aime ou adore ce film. Et j’aurais aimé en être ...
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Le scénario du film s'est grandement inspiré du livre de Jon Krakauer, "Voyage au bout de la Solitude", qui racontait l'histoire vraie de Christopher McCandless. Sean Penn avait acheté le livre par hasard, et s'était immédiatement dit qu'il l'adapterait au cinéma, pensant d'abord à Leonardo DiCaprio pour le rôle principal. "Sans cesser d'aimer l'homme, j'adore la nature" : ces quelques mots de Lord Byron ouvre ce film très littéraire ...
En 1996 sort aux Etats-Unis le livre de Jon Krarkauer intitulé Into the wild narrant l’aventure incroyable qua vécu quatre ans plus tôt Christopher McCandless dans le grand Nord. Très tôt Sean Penn s’intéresse à l’adaptation et son enthousiasme pour le projet vaincra finalement les réticences de la famille McCandless dix ans après. Il faut dire que le réalisateur de l’excellent Crossing guard s’est investit corps et âme dans une aventure cinématographique ...
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Des films de ce début d’année 2008, la dernière réalisation de Sean Penn sera surement la plus belle réussite et le plus beau succès en salle. Plebiscité par les spectateurs, cette allégorie de l’abandon matérialiste frappe tant par la force de son message que de ses images. Inspiré du roman éponyme de Jon Krakauer, Into the Wild retrace la folle et périlleuse aventure de Christopher McCandless, qui fraichement diplômé décide de tout plaquer pour partir à la conquête de la Grande Aventure de l’Alaska ...
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Premier film au ciné pour moi en ce début d’année 2008, et waouh ! Quel film ! C’est tiré d’une histoire vraie, celle d’un jeune homme qui après avoir obtenu son diplôme, décide de tout plaquer : famille, amis, la vie toute tracée qu’on lui destinait, pour partir à l’aventure et entrer en communion avec la nature, renonçant ainsi au confort, au matérialisme de notre société occidentale ...
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L'année passée, dans Old joy, Kelly Reichardt proposait une envolée légère dans un univers de plus en plus méconnu, celui du dépouillement et de la communion avec la nature. Un bol d'air frais de soixante-dix-huit minutes s'opposant à toute forme de matérialisme et de conventions. Aujourd'hui, Sean Penn propose à peu de choses près la même réflexion, nous offrant un film deux fois plus long, lente immersion dans des contrées isolées et désertiques où l'homme peut enfin se retrouver avec lui-même ...
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
Un des films à voir en ce début d'année assurément. Into the wild (en pleine nature en français) est une sorte de road-movie initiatique à travers les USA. Je n'aimais clairement pas le personnage principal au début du film : un jeune prétentieux qui décide de tout plaquer car il ne supporte pas le capitalisme ambiant. Alors même qu'il a peu vécu, il croit tout savoir de comment on doit vivre grâce aux innombrables livres qu'il a lu. Il a cette tendance à vouloir montrer au monde comment il faut vivre, comme s'il était au dessus de nous tous ...
Into the wild ou le grand manifeste illustré de la décroissance! Plus qu'un récit initiatique au coeur de la nature américaine (les décors, filmés pendant les 4 saisons, sont somptueux), le 4e film de Sean Penn est un bel objet de réflexion sur la société de consommation. Une sorte d'appel à révéler la part d'anti-conformisme qu'il y a en chacun d'entre nous. Le voyage en vaut donc doublement la peine: dépaysant et philosphiquement intéressant ...
Lire la suite de la chronique chez Les nouveaux cinéphiles.
En 1996 sort aux Etats-Unis le livre de Jon Krarkauer intitulé Into the wild narrant l’aventure incroyable qua vécu quatre ans plus tôt Christopher McCandless dans le grand Nord. Très tôt Sean Penn s’intéresse à l’adaptation et son enthousiasme pour le projet vaincra finalement les réticences de la famille McCandless dix ans après. Il faut dire que le réalisateur de l’excellent Crossing guard s’est investit corps et âme dans une aventure cinématographique (tournages en décors réels dans des conditions difficiles, finances qui ne suivent pas…) qui rejoint celle du personnage principal ...
Lire la suite de la chronique chez Culturopoing.
Comment écrire encore sur ce film, quelque chose qui tienne « la route », il en sera beaucoup sujet au moins dans la première partie. La route prélude, passage astucieusement intitulé " la naissance " enfin c'est ce que je crois me souvenir, il y aura ensuite " l'adolescence" et enfin "l'âge adulte". Les trois étapes qui mèneront Christopher McCandless, alias Alexander Supertramp ,son nom de routard, de rencontre en rencontre à son but ultime l'immensité sauvage de l'Alaska. Ce film reflet d'une histoire vraie conte une quête de liberté mais encore plus d'absolu, une absolu liberté quoi ...
Lire la suite de la chronique chez Les irréductibles.
Film choc, Into the wild marquera à tout jamais les spectateurs. Par sa photo sublime, sa bande originale adéquate, ses personnages, son histoire, son rythme. Sa durée, plus de 2 heures 30, ne doit pas repousser les curieux. Car le temps passe vite, même trop, face à ce flot d'images magnifiques. Le voyage initiatique de Chris (Emile Hirsch) que nous dévoile Sean Penn ne laisse pas le spectateur passif, au contraire. Ce dernier est baladé dans les quatre coins d'une Amérique. Grandeur, splendeur, rencontres, solitude, rancunes, implosion sont les éléments constitutifs du chemin que s'est tracé Chris ...
Lire la suite de la chronique chez Cinéfeed.
Avec réticence je me suis résolu à voir Into the wild au complexe multi salles car il est projeté en version française. En revanche, je l’ai vu sur grand écran et bien confortablement assis, ce qui est préférable vu sa durée. Chris, puis Alexander Supertramp (Emile Hirsh), largue sa famille alors qu’il vient juste de terminer brillamment ses études à l’Université de Géorgie et que ses parents lui offrent une voiture toute neuve. Ils en ont marre de le voir se trimballer dans sa vieille guimbarde japonaise. Las, Chris désire autre chose que des objets comme témoignage de leur amour. Depuis quelques années il ne supporte plus leur fausse entente conjugale, leurs méprisables secrets familiaux, il aspire à la Vérité ...
Lire la suite de la chronique chez Psykokwak.
Into the wild est l’adaptation du roman éponyme de John Krakauer. L’auteur y relate l’histoire vraie de Christopher McCandless, qui, écœuré par la tyrannie de son père et l’apathie de sa mère, décide de prendre la route dans un périple initiatique et solitaire qui le mènera jusqu’à sa mort quelque part au fin fond de l’Alaska. D’un scénario aussi mince et casse gueule on peut redouter le pire et rarement le meilleur ...
Lire la suite de la chronique chez Ombres et lumières.
Quel voyage saisissant ! Quelle expérience envoûtante ! A la fois éprouvante et sublime. Je devrais commencer par le début avant d’en venir à mes impressions mais elles étaient tellement fortes que parmi toutes ces sensations puissantes et désordonnées suscitées par ce film, c’était ce qui prévalait, cette impression pas seulement d’avoir vu un film mais d’avoir effectué un voyage, un voyage en moi-même, et d’avoir vécu une véritable expérience sensorielle. Depuis que j’ai vu ce film, hier, il me semble penser à l’envers, du moins autrement, revenir moi aussi (plutôt, moi seulement, certains n’en reviennent pas) d’un voyage initiatique bouleversant ...
Lire la suite de la chronique chez In the mood for cinema.
Un pick up arrive au bout d'un cul de sac, un jeune homme en descend. Il marque ses empreintes dans la neige et s'enfonce dans l'immensité. L'Alaska, Alexander Supertramp n'a pas trouvé mieux pour se couper de notre monde. Il s'installe dans une vielle carcasse de bus et commence une nouvelle vie de chasse et de ceuillette. Qui est il ? Un baroudeur mysanthrope qui a traversé la planète de long en large ou un inconscient qui s'imagine vivre d'amour et d'eau fraiche ...
Lire la suite de la chronique chez Le bal des vauriens.
Un très beau film que celui de Sean Penn. Inspiré d'une histoire vraie, de celle de Christopher McCandless qui, une fois son devoir accompli, finir ses études décide de partir, d'aller se trouver, se retrouver, aller au delà de lui-même et vivre enfin après tant d'années, vivre dans la vérité et non plus dans le mensonge, l'hypocrisie,... Comme dirait C., un film de rencontres également. De belles rencontres qui sont à double sens, des rencontres qui marquent et qui jalonnent cette route qu'il s'est tracé ...
Lire la suite de la chronique chez Blog Culturel.
Personnalité parmi les plus anticonformistes et intéressantes d’Hollywood, récemment désigné président du prochain festival de Cannes, l’acteur et cinéaste Sean Penn, sept ans après The Pledge, ressuscite avec Into the wild un mythe vieux comme l’Amérique : le retour aux sources par le voyage. Il signe un manifeste très personnel, parfois naïf, pour le retour à la nature. Le film est inspiré par une histoire vraie, celle de Christopher Johnson McCandless, jeune homme de bonne famille qui partit à la découverte des grandes espaces américains au début des années 90 (histoire contée par le journaliste et écrivain Jon Krakauer dans le livre éponyme) ...
Lire la suite de la chronique chez Goin' to the movies.
Bien qu’ayant vu et apprécié Crossing Guard et The Pledge, les deux précédents films de Sean Penn, j’appréhendais néanmoins la vision de Into The Wild. Effectivement, si Sean Penn a, dans le passé, mis en avant sa vision sombre du monde, ses dernières pérégrinations politiques et son engagement politique toujours plus à gauche, m’avait fait craindre qu’Into The Wild soit une apologie du mode de vie nomade par opposition à un mode de vie sédentaire empli de matérialisme et imposé par le capitalisme. Il n’est est rien ...
Lire la suite de la chronique chez Playlist Society.
Dix ans de préparation pour ce film qui est tout ensemble une ode à la nature, à la beauté, à la liberté, à la solitude et, par ailleurs, une odyssée personnelle, celle d'un jeune américain frais émoulu d'une université et qui, tournant le dos à la civilisation et à nos sociétés consuméristes, abandonne sa voiture, lègue les dollars de sa bourse à une oeuvre caritative et prend la route pour un voyage initiatique, effaçant ses traces au fur et à mesure de son avancée, afin de se fondre à tout jamais dans la nature. Sa vraie naissance - dira-t-il - au long de ce parcours raconté en une suite de brefs épisodes et sous forme d'un journal intime par ce héros au beau sourire qui a largué les amarres et fait retour à la vie sauvage ...
Lire la suite de la chronique chez La plume et l'image.
Ce film, bardé de récompense, est l'adaptation cinématographique du livre écrit en 1998 par Jon Krakauer, retraçant l'histoire de Christopher McCandless (incarné dans le film par Emile Hirsh). Fils d'une riche famille aux apparences lisses mais à la réalité plus trouble, Christopher vient de passer les quatre dernières années de sa vie à obtenir son diplôme. Sa culture et ses notes brillantes tracent pour lui un avenir prometteur, dans les plus grandes universités du pays. En mai, il rend son appartement, détruit ses papiers d'identité, sa carte bancaire, donne ses économies à une ONG contre la faim, et part ...
Lire la suite de la chronique chez Bunee.
Un film tourné uniquement en décors naturels avec des images d'une stupéfiante beauté. Un film réalisé avec la finesse, la pudeur et l'intelligence de Sean Pean. Un film inspiré du livre "Voyage au bout de la solitude" lui même inspiré de la vraie vie de Christopher Mc Candless. Un acteur qui n'en est plus un, tant il transfigure son rôle ...
Lire la suite de la chronique chez Géraldine.
Inspiré d'une histoire vraie narrée par le journaliste Jon Krakauer dans son livre Voyage au bout de la solidude, le film de Sean Penn nous décrit l'itinéraire d'un personnage très proche des obsessions de l'acteur-réalisateur, de Crossing Guard à The Pledge (où il mettait en scène Jack Nicholson) et en commençant par The Indian Runner, celui d'un être désabusé en quête de paix intérieur dans un monde un peu fou qui semble progressivement sombrer dans le chaos ...
Lire la suite de la chronique chez Shin.
N'ayant pas lu le livre de Jon Krakauer dont le film s'inspire, je vais éviter de faire des comparaisons et parler seulement du film en lui même. J'ai été captivé par cette histoire. J'ai tellement entendu parler d' "Into the wild" que je dois admettre que je savais déjà comment tout cela aller se terminer mais pourtant j'ai été captivé de bout en bout par cette histoire touchante. Bien que le personnage principal ait des traits de caractère que je n'affectionne pas (je l'ai trouvé un peu voir beaucoup égoïste par exemple), j'ai tout de même sympathiser avec lui des les premières minutes ...