Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
In the mood for cinéma, Rob Gordon, Laterna Magica, Critiques Clunysiennes
Il y a longtemps que je t'aime, De Philippe Claudel, Avec K. Scott Thomas, E. Zylberstein, S. Hazanavicius Sortie le 19 Mars 2008 |
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Le film s’ouvre sur le regard bleu et absent et glacial de Kristin Scott Thomas (Juliette), ce regard qui va nous happer dans les abysses de ses douleurs et ses secrets et ne plus nous lâcher jusqu’à la dernière seconde du film. Ses traits sont tirés, sa démarche maladroite, ses réactions sont brutales. Elle vient de sortir de prison après 15 ans d’enfermement. 15 années pendant lesquelles sa famille l’a rejetée ...
Lire la suite de la chronique chez In the mood for cinéma.
Dramatique. C'est l'adjectif parfait pour décrire Il y a longtemps que je t'aime, première réalisation de Philippe Claudel, écrivain paraît-il fréquentable. Évitons toute incompréhension : le drame, c'est le film lui-même, condensé de ce que le cinéma français peut faire de pire. Un mélodrame pachydermique et faussement digne, qui tente de dissimuler sous des dessous auteuristes ses envies de terrorisme émotionnel ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.
Le casting et le titre de ce premier film de Philippe Claudel pourrait laisser croire à une nouvelle comédie romantique. Ce serait se tromper sur les intentions de l'auteur, écrivain reconnu et dont chacun des romans est marqué par un humanisme profond. Il y a longtemps que je t'aime est un film ou tout est sous jacent, le contenu se lit entre les lignes, ou plutôt dans les regards, dans les instants de silence, dans les gestes apparemment anodins de chacun des personnages. Pourquoi ce titre est-il pourtant si évocateur du film ...
Lire la suite de la chronique chez Laterna Magica.
Il est des signes qui ne trompent pas, comme la nature du clivage de la critique (Pour : Le Figaro, Figaroscope, Paris Match et Le Parisien ; contre : Le Monde, Libération, Télérama, Les Inrocks et les Cahiers du Cinéma), le label Découverte UGC (pour un film bizarrement produit par... UGC), ou la bande-annonce putassière de 5 minutes sur des spectateurs ruisselant de larmes, étranglés d'émotion et ne trouvant par leurs mots, juste deux trois hyperboles à la sortie d'une avant-première : mon détecteur à émotion calibrée s'était allumé, comme à la lecture de "L'Elégance du Hérisson" ou à la vision de "Odette Toulemonde" ...
Lire la suite de la chronique chez Critiques Clunysiennes.