Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Planet Gong, Culturopoing, Le golb, Playlist Society
Grace/Wastelands, Pete Doherty Sortie en 2009 |
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Premier album solo de Peter Doherty, ce disque produit par Stephen Street (déjà producteur de Blur et de Babyshambles) contient une douzaine de chansons, dont une bonne moitié était déjà connue depuis quelques années, par l'intermédiaire des nombreux bootlegs des enregistrements des Libertines, des Babyshambles[1] ou de Doherty lui-même. Après l'extraordinaire Up The Bracket, les productions officielles du chanteur / guitariste ont le plus souvent laissé un désagréable goût d'inachevé, et le cirque médiatique qui s'affolait autour du chanteur n'arrangeait rien ...
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D’abord une précision: l’auteur de cette chronique, sans raison particulière, ne s’est jamais penché sur le cas Doherty. Ni ses disques avec les Libertines ou Babyshambles, ni ses frasques Amy-Winehouse-like. C’est donc dans un climat de relative virginité qu’il se penche sur le PREMIER album signé du nom de Peter Doherty. Et c’est sur la foi de cette seule pièce à conviction qu’il s’exclamera: bon sang, j’aime ce type ...
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Depuis qu’il est presque clean et que les moins de 16 ans le vénèrent, Pete… pardon : Peter Doherty n’en finit plus de revenir, et les médias de relayer ces retours – visiblement personne n’a pris la peine de leur dire qu’ils se répétaient. Il y a de quoi s’étonner : quand les Libertines, premier groupe de Doherty que les gamins d’aujourd’hui connaissent à peine, publiaient deux chefs-d’œuvre absolus, la presse française et Nagui s’en fichaient éperdument. À présent que l’un des deux ou trois meilleurs groupes de la décennie est devenu un lointain souvenir (*) et qu’il semble acquis que plus jamais Doherty n’approchera ce niveau, il n’a jamais fait autant de couvertures ni reçu autant d’étoiles ...
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Pete Doherty a cru qu’il suffirait de rajouter un « r » à son prénom pour que tout soit oublié, comme s’il suffisait que je signe dorénavant mes chroniques Binjmain F pour que toutes mes erreurs de jeunesse (comprendre ces disques que j’ai injustement descendus ou malhonnêtement encensés) soit effacées. Bon allez pas de mauvais esprit, il faut avouer que l’ex-Libertines s’offre ici une vraie résurrection, grâce à un songwriting des plus touchants ...
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