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24
04
2009

Duplicity - Tony Gilroy

8 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Duplicity,

De

Avec J. Roberts, C. Owen, T. Wilkinson

Sortie en salle le 25 Mars 2009
Duplicity - Tony Gilroy
.
 

... la paranoïa, c’est le moteur de cette comédie d’espionnage habilement construite. Tony Gilroy, réalisateur du très bon Michael Clayton et scénariste de plusieurs thrillers à succès, a sans doute puisé son inspiration chez certains de ses confrères – on pense notamment à Soderbergh – mais il a le mérite d’avoir volé la bonne formule et d’avoir su l’exploiter intelligemment. L’intrigue est rondement menée et ménage suffisamment de rebondissements pour tenir en haleine le spectateur pendant deux heures ...
 

J’aime bien Clive Owen, et j’adore Julia Roberts, mais voir le premier sur deux affiches en même temps, qui plus est dans un rôle sensiblement similaire, n’incite qu’à une chose : comparer ! Et au jeu du “dans quel film Clive est-il est agent convainquant”, Duplicity ne rafle pas la mise, laissant à son rival The International une courte longueur d’avance ...
 

Poker menteur, jeux de dupes, je t'aime moi non plus, ... Duplicity est un peu tout cela à la fois. Deux anciens agents rivaux (l'une de la CIA, l'autre du MI6) se mettent en tête d'intégrer le privé et l'espionnage industriel pour réaliser le coup du siècle et escroquer deux gros patrons de l'industrie cosmétique ...
 

Claire est agent de la CIA (prononcez « si aie hé », ça le fait) et Ray, agent du MI6 (dites « aime aïe sixe », that will do). Ils se rencontrent à Dubaï lors d’une mission chabadabadaboum et avant qu’il n’ait le temps de lui prouver son amour, Ray finit saucissonné (drogué) par la belle qui lui vole les secrets cachés dans sa chaussette. MDR. Les deux tourtereaux se retrouvent, (hasard ou coïncidence ?) se font des yeux de crapauds morts d’amour en se balançant des vacheries, ...
 

Oubliez tout ce que vous avez pu voir dans le genre : Duplicity est un coup de pied dans la fourmillière hollywoodienne, le divertissement ultime, plus classe et brillant tu meurs. Aux manettes, Tony Gilroy, promu roi Midas du scénario grâce à la trilogie Bourne et à l'épatant Michael Clayton. Il nous offre un film de braquage sans braquage, un Ocean's eleven plus fun et moins tape-à-l'oeil, jouissif pour les yeux comme pour les oreilles. Dialoguiste hors pair, Gilroy a brodé une intrigue aux petits oignons, d'autant plus puissante qu'elle utilise la parole comme arme principale ...
 

Tony Gilroy a réalisé, il y a deux ans, Michael Clayton avec le grand George, un film pas si bête que ça sur l’industrie pharmaceutique, et un film que j’avais beaucoup aimé, quand je l’avais vu au cinéma. Celui qui est aussi scénariste de la fameuse trilogie Jayson Bourne, confirme ici son goût pour les intrigues alambiquées où tout le monde manipule tout le monde. Comme le met bien en avant l’affiche, c’est bien le cas dans Duplicity avec des espions, des espions doubles, et même des triples espions ...
 

Après quelques jours loin des salles obscures, j’avais envie d’un film léger et ludique, j’ai choisi celui-ci parce que j’adore le cinéma d’espionnage, parce que Tony Gilroy est un scénariste particulièrement talentueux (« Duplicity » est son second long-métrage en tant que réalisateur après "Michael Clayton" mais il est aussi notamment scénariste de la saga des Jason Bourne) et parce qu’un petit voyage (Londres, les Bahamas, Dubaï, Rome) comme il sied toujours au genre, n’était pas pour me déplaire ...
 

Un film d'arnaque comme on les aime, avec deux acteurs particulièrement glamours en tête d'affiche. Que rêvait de mieux ? Le duo de choc n'atteint cependant pas toutes ses promesses : malgré les nombreuses joutes verbales, on ne croit pas trop à leur idylle. Julia Roberts, notamment, est beaucoup moins étincelante qu'on l'avait connu ...

Note : 2.8/5 (4 notes)


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