Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Laterna Magica, Xav-B.Log, Les nouveaux Cinéphiles, Culturopoing, Le Bamboo Club, Publik'art, Rob Gordon, Cahier Critique, BMR & MAM, Sur la route du cinéma, Le Génépi et l'Argousier, Boustoune, Lysao
Coraline,
D'Henry Selick,
Animation
Sortie le 10 Juin 2009
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Coraline est une petite fille espiègle qui s’ennuie ferme. Elle vient de déménager dans un coin un peu paumé, ses parents son peu attentifs à elle tant ils sont chacun plongés dans l’écriture de leurs livres respectifs, et ce garçon de son âge qui est aussi son voisin ne l’intéresse pas vraiment. Coraline a d’autres voisins plus étonnants et qu’elle retrouvera dans des circonstances futurs très différentes ...
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Pour certains L'Etrange Noel de Monsieur Jack a été réalisé par Tim Burton mais en fait un homme discret en est le véritable réalisateur : Henry Selick. L'injustement méconnu metteur en scene est enfin de retour apres neuf ans d'absence pour un troisieme long métrage mélangeant animation en Stop Motion et images 3D. Le résultat s'appelle Coraline et marque une nouvelle révolution en étant le premier long métrage du genre a étre projeté en trois dimensions dans les salles équipées. Coraline est l'adaptation d'un roman de Neil Gaiman. Auteur a succés a qui l'on doit déja Stardust,adapté au cinéma en 2007, et le scenario du comic book Sandman. L'histoire de Coraline s'adresse aussi bien aux enfants qu'aux adultes ...
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Les films d'animation à sortir en 3D relief se suivent, mais heureusement ne se ressemblent pas tous. Coraline, signé Henry Selick (réalisateur entre autres de L'Etrange Noel de Monsieur Jack, écrit par Tim Burton), se distingue sans hésitation grâce à son univers fantastique, proche de celui de Tim Burton. On y décèle d'ailleurs quelques clins d'oeil au "maitre" (les cisailles de la Maman aux yeux boutons (Edward aux mains d'argent), le monde parallèle (Beetlejuice) et magique (Charlie et la chocolaterie) ...
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Troisième long métrage de Henry Selick (le réalisateur de L’Etrange noël de Monsieur Jack, pour ceux qui auraient vécu dans les bois cette dernière décennie), Coraline est un nouveau chef d’œuvre réalisé en stop motion, une technique d’animation qui nous est rarement donnée à voir sur grand écran. Petite mise en garde, la promo française tend à identifier le film à l’univers de Tim Burton, alors qu’Henry Selick a développé avec son équipe d’artistes un univers visuel original ...
Lire la suite de la chronique chez Culturopoing.
Ce film est tiré du roman éponyme de Neil Gaiman. L’auteur anglo-saxon qui enchaîne les succès littéraires, avait écrit ce conte pour sa fille. Depuis le subjuguant et onirique L’Etrange Noël de Monsieur Jack, le talent de Henri Selick brode encore autour d’un univers dark et gothique. Une fois de plus, son récit où l’humour s’associe à du second degré ...
Lire la suite de la chronique chez Le Bamboo Club.
Coraline (prononcez Cowalyne pour être bien vu) est un film d’animation redoutable de technicité dans sa réalisation. On y retouve la patte Timburtonesque du conte noir pour enfants (?) et adultes, digne successeur de L’Etrange Noël de Mr. Jack. Les comparaisons avec celui-ci sont faciles, mais ce nouvel opus a su se renouveler à la fois dans l’histoire, l’atmosphère générale et dans les moyens de recréer un monde fantastique dans lequel on est littéralement plongé ...
Lire la suite de la chronique chez Publik'art.
Règle d'or : comme pour la plupart des autres "grands maîtres de l'animation" (zzzzz), il ne faut pas dire de mal de Henry Selick, réalisateur de l'ennuyeux Nightmare before Christmas (trop souvent attribué à cet arnaqueur de Tim Burton), du minable Monkeybone, et du certes mignonnet James et la pêche géante (qui ne vaut pas un bon Roald Dahl) ...
Lire la suite de la chronique chez Rob Gordon.
Au fait, qui a réalisé L’étrange Noël de Monsieur Jack ? Tim Burton ? Pouah, bande de blaireaux, et vous osez vous considérer comme des cinéphiles ? Supprimez vos blogs, c’est Henry Selick. Bon, à votre décharge, il est vrai que le film s’appelle en VO Tim Burton’s Nightmare before Christmas, donc ça prête à confusion, et puis tout le monde fait l’erreur ...
Lire la suite de la chronique du Cahier Critique.
La 3D envahit lentement mais surement nos écrans. Le Technicolor avait illuminé notre enfance mais les gosses d'aujourd'hui verront certainement les prochains James Bond en relief ... D'ici là il faudra patienter encore un peu et la perspective de la troisième dimension reste pour le moment réservée aux films d'animation. Bon public et toujours prêts à s'enthousiasmer pour le progrès, on est donc allés voir Coraline. ...
Lire la suite de la chronique de BMR & MAM.
Ça commence fort et bien. Coraline que tout le monde, les voisins zarbis, son nouveau copain un peu zinzin, appellent Caroline est bougon mais tellement mimi tout plein qu’elle en est absolument craquante. Pendant une demi-heure, on se demande vraiment comment elle va se sortir de ce pataquès pas ordinaire ...
Lire la suite de la chronique de Sur la route du cinéma.
L'animation est splendide. Des marionnettes, des couleurs, des personnages savoureux, des situations cocasses, tendres, inquiétantes donnent à ce film une dimension fantastique affirmée. La peur rode, tapie, constamment présente ...
Lire la suite de la chronique de Le Génépi et l'Argousier.
Tiré d’un roman de Neil Gaiman (1), Coraline est une sorte de variante sombre et effrayante de « Alice aux pays des merveilles » (2). Avec la sortie de cette adaptation cinématographique, on peut presque considérer que Henry Selick a pris de vitesse son mentor Tim Burton, dont la version du roman de Lewis Carroll est bouclée mais ne devrait pas sortir avant quelques mois. Juste retour des choses, car lors de la sortie de L’étrange Noël de Monsieur Jack, Tim Burton – scénariste et producteur - avait recueilli tous les lauriers et peu de personnes avaient mis en avant le minutieux et brillant travail de Selick, véritable réalisateur du film ...
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Après The nightmare before Christmas, injustement trop souvent attribué à Tim Burton, Henry Selick adapte un roman inquiétant et dérivé d'Alice au pays des Merveilles, écrit par Neil Gaman. Je ne gardais de ce dernier que des souvenirs effrayants et une richesse dans les péripéties et personnages. C'est pourquoi j'allai, comme tout lecteur méfiant des adaptations du texte à l'écran, plutôt perplexe, découvrir Coraline ...
Lire la suite de la chronique de Lysao.