Source : EightDayzaWeek
Visiblement le temps n'a guère de prise sur la prodigieuse vision de la famille déliquescente (où les mères meurent seules, les filles pleurent abandonnées, incomprises) de Friedkin, elle demeure toujours aussi puissante et obsédante.Car derrière le mysticisme de façade (et les punchlines blasphématoires qui ont fait 40 fois le tour du monde), c'est bien la perte des repères, les turpitudes de la vie contemporaine qui sont, plus que le cerveau de Regan, passées au violent scanner [..]