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11
2007

Black Book - Paul Verhoeven

6 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Black Book,

De ,

Avec C. Van Houten, S. Koch, T. Hoffman
Sortie en salle le 29 Novembre 2006
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J’écris ? Je n’écris pas ? Allez, on tente. Je n’ai encore jamais parlé de Verhoeven dans ces pages. D’ailleurs, pour des raisons purement orthographiques je l’appellerais Paul dans ce texte. Cela faisait un bout de temps que l’on avait plus de nouvelles de ce charmant hollandais, auteur de films qui sentent le scandale à des kilomètres, et qui se sert un peu de cet aura pour tricher un peu : en effet, la mise en scène passe un peu en second plan pour laisser se planquer lâchement derrière le scénario. Cela dit, j’aime beaucoup Starship Troopers et même Total Recall (pardon) que je persiste à soutenir (tant pis, j’aurais essayé). Black Book, ou le retour à l’Europe : grosse production européenne avec des vrais morceaux de pays bas et d’Allemagne, retour aux sources et en 44 ...

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Drôle de personnage que le réalisateur Paul Verhoeven, qui a commis «Basic instinct» et «Showgirls» à Hollywood et qui se passionne pour la théologie. D’origine hollandaise, Verhoeven a quitté le luxe des studios pour tourner dans son pays et dans sa langue maternelle. Dans une interview qu’il a donné à «Première», on est horrifié de la principale raison de son choix de quitter les USA pour venir faire son film en Europe : "… Aux USA… les films sont devenus des produits destinés à soutenir la vente d’autres produits comme des jeux vidéo. Impensable de faire là-bas un film qu’on ne peut pas vendre avec autre chose comme « Black Book"… Le temps de cerveau disponible de Le Lay n’est pas loin ...

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Plus de vingt ans après son dernier film hollandais, Paul Verhoeven est de retour dans son pays natal pour un projet qu'il portait en lui depuis des années. Enfant pendant la guerre, il raconte d'ailleurs avoir dû longer dans la rue une rangée de cadavres d'otages exécutés par les Allemands en représailles aux actions de la Résistance. Il y a différents niveaux de lecture possibles de "Black Book" ...

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Le film s’ouvre et se referme comme Ô Jérusalem, de Chouraqui. On partait de la seconde guerre mondiale pour embrayer sur le conflit Israëlo-Palestinien, et là c’est l’inverse, on part de l’actualité, et on part en flashback. Et le film du réalisateur hollandais vaut bien celui du français. J’en suis ressorti avec la même impression, celle du contentement qui n’a pas su aller jusqu’a l’émerveillement, celle du bon souvenir qui n’aura pas su être un excellent souvenir. Parce que le film est bien, quand même. Faut pas déconner ...

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"Black Book" n'est pas un de ces livres noirs comme on nous en accabla ces dernières années, avec des bas (celui des amis de Stéphane Courtois) et des plus hauts. Mais c'est peut-être l'occasion de contribuer modestement à celui du cinéma, et plus particulièrement d'une sorte de relativisme, de nivellement de tout ce qui est à laquelle se livre l'industrie de l'entertainment. En matière de nazisme, le summum de l'horreur fut sans aucun doute das untergang (La chute), film qui fit évènement en Allemagne, trois fois hélas ...

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« Mais ça ne s’arrêtera donc jamais! ». Ainsi s’exprimera Rachel Stein, l’héroïne juive et résistante du Black Book de Paul Verhoeven, lorsqu’elle apprendra de la bouche de Hans Akkermans, de ce type qui sera longtemps son plus fidèle compagnon d‘armes, l’exécution pour haute trahison de l’Hauptmann SS Ludwig Müntze, de cet officier de Gestapo qu’elle se devait de séduire afin de mieux pouvoir le combattre, lui et sa horde de sauvages ...

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Note : 3.2/5 (12 notes)


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