Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Culturopoing, Des pas perdus, Devotionall, Playlist Society, Le Golb
Amours suprêmes Daniel Darc, Paru en 2008 |
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Ces lignes écrites par Daniel Darc et tirée de la chanson « Nijinski » (sur l’album du même nom qu’il enregistra en 1994) résume parfaitement le personnage et sa carrière. Jusqu’à l’album « Crèvecœur » tout du moins puisque celui-ci, écrit avec la collaboration essentielle du musicien Frédéric Lo, a donné à son parcours une toute autre lumière. Sort aujourd’hui "Amours Suprêmes" son second album en moins de 5 ans, un quasi-exploit quand on se retourne sur sa chaotique discographie. Référence évidemment au disque « A love suprême » de John Coltrane dont la pochette apparaissait déjà dans le livre intérieur de « Crèvecœur » (...)
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Amours suprêmes est dans les bacs depuis lundi. A la sortie de Crève coeur, on parlait de résurrection ou de miracle, après les dix ans d'absence de Daniel Darc. Quatre ans plus tard, ce nouvel album prouve que son retour s'inscrit dans la durée. Tant mieux ! Amours suprêmes entre la catégorie des albums qui dès la première écoute se révèlent indispensables... Quoi de plus normal, c'est Daniel Darc, revenu de tous les enfers artificiels, un artiste rare ! (...)
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Du rock aux arts martiaux, en passant par la défonce sous diverses formes, Daniel Darc est un des ces individus qui vivent leurs passions à fond, et peut importe qu’elles soient destructrices. Cet ancien membre du groupe Taxi Girl a connu la gloire dans les années 70, et ensuite expérimenté que le plus dur n’est pas gravir la pente du succès, mais d’être capable de gérer l’autre versant, celui de la rapide descente, sans que la chute finisse, par force d’inertie, par devenir une dégringolade incontrôlable. Sa carrière est clairsemée de sorties ici où là, espacées les unes des autres, sans grand liant à première vue. C’est pourquoi une seconde nouveauté en l’espace de quelques années relève presque de l’exploit. Le chant de Darc est important dans cet album, il colle parfaitement aux propos (...)
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Après avoir posté un article sur Sébastien Tellier, quoi de plus naturel que de parler du nouvel album de Daniel Darc, l’autre réincarnation de Gainsbourg. Depuis son retour en 2004, il représente le mieux cette chanson française au romantisme noir et aux textes écorchés. Je préfère tirer un trait sur le passage obligé de la biographie du bonhomme, sur son passé chez Taxi Girl, sur sa descente aux enfers, pour me focaliser sur Amours Suprêmes, produit tout comme Crève Cœur par Frédéric Lo (...)
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Figurez-vous que mon lecteur MP3 en shuffle a eu l'idée folle (mais salvatrice) de passer « Aussi belle qu'une balle » (classique taxigirlien de 1986). En entendant ce titre irréprochable...j'ai tout simplement, comme Daniel avant moi, retrouvé la foi. Sauf que la mienne était mauvaise. Pas de bol pour Daniel. La Foi justement ne serait-elle pas le principal problème de Daniel Darc ? A l'instar de son idole Johnny Cash, l'ex leader de Taxi Girl a retrouvé la sienne en cessant de se droguer. On est ravi pour lui. Fallait-il en faire toute une discographie pour autant... ?...la question mérite d'être posée (...)
Lire la suite de la chronique chez Le Golb.