Source : In the mood for cinéma
Quelle bonne idée que de faire débuter (à nouveau) le Festival de Cannes par un film de Woody Allen, promesse toujours de tendre ironie, de causticité mélancolique mais aussi en l’occurrence de villes baignées de lumière. Comme un écho à la sublime affiche de cette 69ème édition, incandescente, solaire, ouvrant sur de nouveaux horizons (image tirée du « Mépris » de Godard) et sur cette ascension solitaire, teintée de langueur et de mélancolie… comme une parabole de celle des 24 marches les plus célèbres au monde [..]