Source : Playlist Society
En 2002, Weezer publiait Maladroit, un quatrième album qui allait marquer la fin d’une croyance qui avait perduré huit ans durant, celle que le groupe de Rivers Cuomo incarnait une sorte d’idéal pop, empli de chansons à la fois rebelles, adolescentes, sincères et sensées – Weezer, bien plus que la vague skate punk portée par Green Day, avait su répondre à la question de l’après Nirvana, et, à la force de son songwriting, réussi à devenir un groupe capital sans rien inventer [..]